L'erreur d'une étudiante infirmière provoque le décès d'un patient

Rédaction ActuSoins
12 septembre 2014 @ 11 h 41 min

Le parquet de Bordeaux a confirmé le 11 septembre l’information : un patient de 61 ans est décédé le 10 septembre après qu’une étudiante infirmière en troisième année lui ait administré une injection qui ne lui était pas destinée. L’erreur médicale s’est produite au sein du service d’oncologie de l’institut Bergonié.

L'erreur d'une étudiante infirmière provoque le décès d'un patient« Un évènement grave est intervenu à l’Institut Bergonié, le mercredi 10 septembre, en début d’après-midi ; nos premières pensées vont à la famille et aux proches. Un patient hospitalisé à l’Institut Bergonié a été victime d’une intoxication médicamenteuse. le décès du patient est intervenu très rapidement, à la suite d’une injection de chlorure de potassium en lieu et place de l’injection de corticoïdes prescrites », explique l’Institut dans un communiqué.

Le centre est l’un des vingt établissements en France spécialisés dans la lutte contre le cancer. Il assure 11.000 hospitalisations chaque année.

L’étudiante infirmière n’a pas été placée en garde à vue

Dès quelle a eu connaissance du drame, la direction de l’institut Bergonié a prévenu la police et la justice. Les policiers de la brigade de répression des atteintes aux personnes, chargés de l’enquête, ont entendu la jeune femme. Elle n’a pas été placée en garde à vue.

« La thèse privilégiée est celle d’une mauvaise administration de médicaments », a indiqué un porte-parole du parquet, en précisant que des « vérifications médico-légales et médicales devaient encore être faites ». Une autopsie a été pratiquée jeudi, mais les résultats n’étaient pas encore connus, a-t-il ajouté.

L’institut Bergonié a également ouvert une enquête pour tenter de comprendre ce qui a pu se passer dans cette affaire. Enfin l’Agence Régionale de Santé annonce la tenue prochaine d’une inspection au sein de l’institut.

C’est la direction de l’hôpital, où le patient avait été admis le 25 août, qui a signalé les faits à la police et au parquet, indique le quotidien Sud Ouest, qui a révélé l’information.

Rédaction ActuSoins

Les professionnels connaissent tous la hantise de l’erreur qui est source d’un véritable traumatisme pour le soignant.

A relireErreur médicale : et si l’infirmière, c’était moi ?

Erreur n’est pas faute

 

Les dernières informations (avec Metronews) au 15 septembre (19 h)

S’il est encore trop tôt pour connaître les circonstances exactes de cette erreur médicale, les investigations ont déjà permis de déterminer que « le patient, récemment hospitalisé en soins palliatifs, s’est vu administré par erreur en intraveineuse directe cette dose de potassium qui aurait dû être administrée à un autre patient qui se trouvait dans une autre chambre », a expliqué le procureur Marie-Madeleine Alliot qui a ouvert une information judiciaire pour homicide contre X.

La victime devait recevoir, elle, une injection de corticoïdes.Selon la procureure, deux seringues se trouvaient à disposition de l’infirmière lors de l’injection. « L’emballage (du produit) était étiqueté, mais pas la seringue », a-t-elle précisé, évoquant une « erreur d’inattention, une imprudence ». L’étudiante infirmière se serait trompée au moment de prendre la seringue pour l’injection. « 

Malheureusement comme on le voit la séparation dans les offices est insuffisante puisqu’il y a eu cette interversion de médicaments. Il y a des strates de vérification (…) mais, on voit qu’il y a eu une faille », a souligné Emmanuel Bussières, chirurgien et directeur de la politique médicale de l’institut Bergonié.

 

Réaction

Jérôme Lalaque, président du Conseil départemental de l’Ordre de la Gironde :« Je parle aujourd’hui pour une profession en émoi et j’adresse mes plus sincères pensées à la famille et aux proches du patient. Tous les jours, les infirmiers, première profession de santé de France, œuvrent pour soigner et accompagner les patients. Nous avons leur vie entre nos mains et cette responsabilité est plus qu’un métier, elle est un engagement »

 

Vidéo : Bordeaux : erreur fatale à l’hôpital

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142 réactions

Aloe Veracookie
12 septembre 2014

Je ne commente pas le fait, mais c’est facile de coller ça, sur le dos de l’étudiante stagiaire, j’ai eu pour ma part, l’expérience en première année, mais comme me mettre en avant, les repousser directement dans le retranchement de la faute de l’infirmière, et pour cause ! … Toute l’équipe a préféré me sabrer, et à l’époque, pas de traçabilité des soins … Sauf que c’était 1977 et que les conditions de travail étaient déjà difficiles, je ne donne pas cher aujourd’hui pour la sécurité du patient, et de l’encadrement des élèves.

Stelle Grn
12 septembre 2014

Ça peut tellement arriver vite. On ne peut pas la juger cette étudiante

Cindy Lecocq
12 septembre 2014

On injecte seulement si on a préparé soit même !! Et toujours noter ce que l’on a préparé !! Surtout du K+ !!
L’erreur est humaine malheureusement…

Elise Rien Personne
12 septembre 2014

La pauvre ça doit être horrible pour elle et pour la famille du patient en même temps en 3 ème année on te confie la moitié du service 🙁

Sylvie Depoire
12 septembre 2014

ben voilà, quand est-ce qu’on arrêtera de compter sur les élèves pour le planning ? où est son infirmière référente ? c’est elle la responsable !!! je plains cette jeune fille qui doit être dans une grande détresse morale… le risque 0 hélas n’existe pas…

Anne-sophie Lestrade Avril
12 septembre 2014

Toujours encadrer et vérifier ce que préparent les étudiants ils ne sont pas infirmiers ….situation horrible pour tout le monde je n’ose même pas imaginé dans quel état d’esprit est l’infirmière et l etudiante face à cette famille….

Stephanie Trupcevic
12 septembre 2014

Qd on est stagiaire il n’est pas tjs si simple de dire à l’infirmière » je n’injecte pas puisque ce n’est pas moi qui ai préparé » si tel a été le cas! Il faut connaître les tenants et les aboutissants avant de dire des trucs pareils!

Françoise Serge
12 septembre 2014

quelle horreur , la pauvre !!!

Mélanie Dubois
12 septembre 2014

Restriction de personnels, congés et arrêts non remplacés, les étudiants sont trop souvent considérés comme de  » la main d oeuvre bon marché » et ça arrange bien! Alors conséquences de ces dérives : l erreur…et pour le coup irréparable…con doléances à cette famille

Marylène Coussirat
12 septembre 2014

D’accord avec Elise Rien Personne, beaucoup de services confient trop de patients aux 3ème années sauf qu’avec la nouvelle réforme on ne peut plus comparer les compétences avec les années on a une responsabilité énorme sur leur encadrement (mais pas le droit à l’erreur!!) mais comment le faire comprendre à ceux qui ont créé cette réforme!! Comment réfléchissent-ils, ont-ils consulté des professionnels avant de la créer??? Faut qu’il arrive de tels malheurs pour reagir?????? Je trouve ça inadmissible!! Courage aux personnes qui sont mêlées à cette affaire…

Virginie Railla-Rugolotto
12 septembre 2014

Perso je pense que c’est plutôt le nouveau programme qu’il fait blâmer

LyLy 'Dou
12 septembre 2014

il faut toujours qu’il y arrive le pire pour que les choses avancent… espérons mtn qu’il y ai des remises en cause de la part de l’état après cette histoire. Une pensée pour la famille et l’étudiante pour qui ca ne doit pas etre facile non plus.

Sophie Clavaud
12 septembre 2014

En sachant qu’elle devait être en stage depuis environ 1 semaine ou 2 vu qu’on est en début d’années, je ne comprends pas qu’il n’y ait pas eu une vérification de la part de l’encadrant.. Après on ne connaît pas le contexte et ce n’est pas toujours facile d’avoir un étudiant. Je les plains, je n’aimerais pas vivre avec ca alors que ca pourrait arriver a tout le monde… par contre attribué cela au nouveau référentiel est juste « stupide » car même les « vieilles » ide font des bourdes en service qui ne sont parfois pas joli joli et on en parle pas !

Chantal Lefebre
12 septembre 2014

je plains aussi l’infirmière de service ce jour là et qui n’a pas eu ou le temps ou le reflexe de contrôler …bien sûr les premiers à plaindre sont les membres de la famille de cette victime !

Manuela Samson
12 septembre 2014

Une succession de « ratés » je pense… une pensée pour l’étudiante, l’ide, la famille et le patient ! Tout peut basculer si vite !

Aurore Lesourd
12 septembre 2014

L erreur est si vite arrivée, pour toutes les raisons citées! Et même en tant que diplômées ça peut nous arriver, sollicitées par le téléphone, les doc, les as, le temps qui file et la charge de travail! Que ce soit une élève ou une pro de change rien au pb de fond que sont les conditions d excercice!

Dhaou Meniaoui
12 septembre 2014

C’est un ttt qui prescrite par le medicin et que la mort du patient est suite a une choc cardiogenique c a d il a fait une allergie suite a la prise de ttt…

Mia Mia
12 septembre 2014

A t elle préparé elle même l’injection? Si oui comment peut on confondre K+ et cortico? Si non quel grossière erreur d’injecter un produit qu’une tierce personne à préparé ! Même au collègue il ne faut pas faire confiance, car on sait tous que le risque zéro n’existe pas et que l’erreur est humaine. Après nous ne parlerons pas de la réforme du programme… combien d’élèves aux connaissances erronées et pouvant être dramatique ai je vu…

Cindy S'guinette
12 septembre 2014

De moins en moins de personnel et de plus en plus de boulot, Si on aurait plus de temps et pas autant de paperasse a faire, ces drames n arriveraient pas , étudiante ou pas étudiante, les erreurs pendent au nez de tous soignants surtout au bout de 10/11h de travail.

Chantal Bld
12 septembre 2014

Ca prouve bien que les élèves ne sont toujours pas mieux encadrées !

Vanessa Marquelet
12 septembre 2014

Kelly Echelain

Myssis Laistee
12 septembre 2014

Je ne jette la pierre a personne .car l erreur est humaine surtout dans ce millieu .car il faut être très attentif ,si elle savait lire elle aurait pu faire la différence surtout lorsqu ont Est éleve ont relit les prescription 2 fois voir 3 ,ont est vigilant ,de plus elles ont le temps pour ça ,quelle referente ceux qui le savent les élèves tournent avec plusieurs équipes ,

Myssis Laistee
12 septembre 2014

Il faut lire et relire si ont ne comprends pas ont demande a l infirmière du service

Mamselle Winnie
12 septembre 2014

A mes yeux ni l infirmière ni l étudiante sont réellement responsable de cette tragédie . Les vrais responsables sont nos directions et notre chère et bienveillante ministre de la santé . Ce sont qd même bien eux qui jouent la politique du rendement aux détriments des patients . On nous presse comme des citrons , on nous en demande tjs plus mais avec tjs moins … Et malheureusement ce n est que le début . J envisage de moins en moins de présenter le concours IDE , même si j aime ce métier . Mais je préfère rester AS . En tt cas je souhaite bcp de courage a cette étudiante a qui ont va tout mettre sur le dos et a l équipe en garde ce jour la . Je tiens a dire merci et féliciter nos dirigeants qui nous prouvent chaque jours leurs compétences et sincères condoléances a la famille …

Katy BerhthildGaill
12 septembre 2014

HORRIBLE !!!

Muriel Matifas
12 septembre 2014

Quelle tragédie pour cette élèves qui avait décider d être infirmière. …elle n a pas commencé sa carrière qu elle est déjà terminée ! Il y a pleins de questions a se poser :
Qui a préparer ?
L infirmière a t elle verifier ?
Était elle présente ds la chb au moment de l acte ?
Comment se remettre d une telle situation. J imagine ds sa tête se qui s y passe : pourquoi moi. C est pas juste. Si j avais su. …..on connaît pas le contexte donc restons courtois envers cette personne. Ne la blamons pas tout comme l infirmière d ailleurs qui était chargé de l encadrement. Le fond du pb c est comme d habitude : le manque de personnel !!! Moi en tant qu élève 3eme année j ai remplacer une ide….cela aurait pu m arriver. …il faut travailler vite et bien et avec peu de moyens matériels et humains. ..seulement des fois ds les soins c est pas compatible….cet accident aura brisé la vie de 3 personnes.

Elo Elo
12 septembre 2014

Toutes mes condoléances à la famille en premier lieu, et toutes mes pensées de soutient sincère à cette étudiante.
Diplômée depuis 3 mois et intérimaire, a chaque garde ma hantise est de faire une erreur.

Aude Lully
12 septembre 2014

Et bah en même
Temps on
Ne connaît pas toute l’histoire mais on nous reproche parfois d’être trop dur avec les étudiants mais maintenant je sais pourquoi je serais encore plus vigilante
Eux se plaignent mais certains n’arrivent pas a comprendre que l’on a la vie des gens entre
Les mains
Quand on arrive en 3 eme années
Sans connaître ses normes
Sans connaître sa pharmaco
Posons nous des questions aussi bien dans les services que dans cette nouvelle réforme qui est vraiment inappropriée!!!!!
En tout cas pensée pour la famille et le service de soin et les soignants

Tite Ginie
12 septembre 2014

Erreur de l eleve?? Ou de l infirmière responsable de son eleve plutôt. ..
Le K+ un produit qui ne devrait pas etre a trainer dans les chariot IDE car source d erreur!!
Maintenant on ne sait pas vraiment dans quel condition tt ceci c passé. …Quand a cette nlle reforme c tt un debat ….

Casmor Falade
12 septembre 2014

RIP à la victime . A l’étudiante c’est un coup dur ; je dis mes compassions

Domi Simonneau
12 septembre 2014

j,en suis malade pour elle,quel traumatisme

Sachem Siouxx
12 septembre 2014

À la lecture de l’article, on sait pas en quelle année elle est. On sait pas si c’est telle qui a préparé son iv. On sait pas qui lui avait dit quoi. Bref, on sait pas grand chose. Après, c’est sûr qu’injecter du k+ à la place de corticos ça pue l’erreur d’inattention. Bref, comme d’habitude, les patients trinquent des erreurs des soignants.

Sabrina Greffier Greget
12 septembre 2014

Terrible ….. Condoléances a la famille !!ne jeter pas la pierre a l étudiante car le risque zéro n existe pas …. Malheureusement !!

Angele Nicou
12 septembre 2014

Ca peut arriver a n importe quelle infirmiere vu les conditions de travail actuelles c est tellement triste pour cet homme mais aussi pour cette fille …. Que dire allo le gouvernement il vous faut combien de deces et de personne dont la vie est brisee !!!

Virginie Perard
12 septembre 2014

Ne pas juger et ne pas blâmer. On ne connait pas l’histoire. Il y a toujours une accumulation d’éléments

Sandrine D'ambrosio Viel
12 septembre 2014

Une étudiante ç’aurait pû être une pro … on n’est pas à l’abri d’un tel drame, jamais, notre vigilance doit être à 200% , tt le temps, et il faut s’en rappeler, tt le temps. Toutes mes condoléances à la famille et tout mon soutien à celle(s) et ceux qui traversent ce drame

Little_asa
12 septembre 2014

Que ce soit l’ancienne ou nouvelle réforme, on a toujours appris à lire les étiquettes des flacons.

Quant au fait d’injecter à la place de, c’est un problème certes, mais arrêtons la langue de bois, combien de fois des IDE m’ont demandé d’aller injecter un produit qu’elles avaient préparé parce qu’occupées ailleurs, les ESI arrangent bien dans certains cas.

Little_asa
12 septembre 2014

C’est quand même écrit en début d’article qu’elle est en 3è année…

Après, on ne connait pas les circonstances et ce n’est pas à nous de juger.

Par contre, cela peut nous inciter à faire plus attention chacun dans notre service, car le risque zéro n’existe pas, et pour personne.

David Boyer
12 septembre 2014

On stigmatise cette pauvre étudiante, plutôt que de remettre en question le système !

Quelle tristesse, a mon avis ce n’est pas la première et ça risque de se multiplier !

Aurelie Riva
12 septembre 2014

C sur q c est pas elle qui a préparé ? Car elle aurait pu de plante tout simplement de patient si elle avait plusieurs patient en charge. Moi perso qd il s agit de traitement de ce genre ou tt simplement en czncero c est encadrement plus plus quitte à tout faire en mz présence et je vérifie avec. C trop risqué|-O

Aurelie Riva
12 septembre 2014

C surtout Tte la paperasse à faire on connaît plus les patients c est affreux. Tt est informatisé tunpasse ton temps à demander comment tu rentre un.truc sur l’ordinateur. Parfois mm d un service à l’autre c est différent alors le patient au milieu on ne le connaît plus. Nous sommes des machines à piquer à panser et le.pbl c est que les responsabilités sont.des.mecs moin en moins reconnues. on a pratiquement la.mm paye qu’une aide soignante sachez le

emmaguil
12 septembre 2014

Quel effroi…
Sans porter de jugement ni sur l’étudiante ni sur l’infirmière, il s’agit bien malheureusement de faire l’analyse rigoureuse des conditions qui ont laissé place à une faute professionnelle grave, partagée par bien plus de personnes qu’on ne le pense en premier lieu. Il est bien évident que le système de soins actuel est fait d’une telle façon que ce genre de situation inquiétante est amené à se reproduire.
Avouons qu’il est relativement compliqué de réaliser son travail du mieux qu’on peut, c’est-à-dire avec « humanitude », en sécurité, avec moins de moyens tant matériels que personnels, tout en offrant un encadrement de qualité, à la mesure de l’étudiant, adapté à ses connaissances théoriques et pratiques, sans qu’il ait l’impression qu’on le surveille trop, qu’on manque de confiance, qu’on le suive à la trace en lui donnant involontairement l’impression qu’on veut le piéger… Il est impossible de ne pas donner de liberté d’exercice à un étudiant de 3ème année, d’abord parce qu’il lui faut pratiquer, se tromper (de préférence sur le papier), et puis en même temps parce qu’il lui faut réfléchir à ce qu’il fait. C’est ce qu’on perd beaucoup je trouve. Il est impossible de ne pas partir du principe que certains acquis sont préalables à l’entrée en 3ème année. Il est parallèlement possible qu’il soit difficile de le vérifier dans les 1ères heures de l’encadrement.
C’est dramatique, pour tout le monde. Chaque infirmier, jeune ou moins jeune, expérimenté ou pas, polyvalent ou pas, humain ou si peu, fier ou honnête, capable de se remettre en question ou pas, apte à assumer ses responsabilités ou pas, tout le monde est concerné. Qui n’a jamais fait d’erreur?
Battons-nous, VRAIMENT, pas mollement, pour faire reconnaître la véritable dégradation de la qualité des prises en soins, parallèlement à cette volonté aberrante de privilégier la course à la rentabilité plutôt que l’humanisme!
Un jour, je voulais être infirmière. Aujourd’hui, je refuse d’être le reflet d’une société perdue au point d’être misérable, misérablement inhumaine. Je resterai infirmière, solidaire.

Emmanuelle Le Calvé
12 septembre 2014

et l’infirmière responsable de l’étudiante et du malade elle était où ???

Adèle Marceau
12 septembre 2014

L’étudiante est la seconde victime de l’événement….pour faire face à ce traumatisme psychologique il est à espérer qu’elle puisse bénéficier d’un soutien psychologique important :(….La survenue d’un tel événement interroge -doit interroger- l’ensemble du système de santé!!!

Monique Salmon Lépée
12 septembre 2014

Penser à faire une formation en informatique….ça gagnera du temps. Je présume que les « paperasses » sont pour le malade justement pour bien connaître ses besoins et ses habitudes? En général on perd du temps si l’organisation laisse à désirer…. Tout doit être fonctionnel (un peu le principe de la cuisine aménagée..) rangement logique des placards qui évite des pas inutiles donc de la fatigue. Promis ça marche ! Ce n’est pas toujours plus de personnel qu’il faut….. Car ça dilue aussi les responsabilités…. Bref tout une histoire ce métier ! Bonne soirée…

Aurore Milla Solinou Masse
12 septembre 2014

C’est très vrai

Celine Duval-baudewyns
12 septembre 2014

Quel drame qui montre bien des dysfonctionnements
Mais le plus important c est qu une personne est décédé et qu une jeune femme devra apprendre à vivre avec cette erreur
Moi même ide on nous en demande toujours plus sans nous donner les moyens
On fait des réformes sans demander au principal intéressé ce qui va pas mais des technocrates savent nous dire ce qu on devrait faire sans connaître la réalité du terrain
Je suis de tous coeur avec l étudiante et l infirmière qui été en poste
Toute mes condoléances à la famille du malade

Monique Salmon Lépée
12 septembre 2014

J’ai répondu à quelques posts. Je pense que le monde des soignants est choqué car en effet on se dit tous « si cela m’arrivait »! Toutes nos pensées vont au malade et a sa famille. C’est un métier qui demande beaucoup d’attention. Cette attention peut être perturbée certes mais parfois c’est un manque d’organisation général qui épuise le personnel. Ce n’est pas toujours le manque de personnel mais la perte de temps pour faire les actes nécessaires aux soins des malades. Gagner du temps, de l’énergie, en organisant d’une façon ergonomique chaque stade du parcours du malade. De son entrée à sa sortie en sachant qu’au milieu ce sont les examens, les traitements, les soins… Chaque étape doit être vérifiable pour le bien être du malade ET des soignants. Pas facile? Il faut juste prendre le temps d’analyser les situations parfois insupportables soit pour le malade mais aussi pour les soignants. Trouver et choisir les « meilleures »solutions et les mettre en oeuvre.  » Meilleures » en fonction des objectifs définis selon une certaine philosophie du « soin » et du « travail » donc d’une certaine « politique ». L’organisation ergonomique permet d’économiser du temps, de l’énergie….Donc de l’argent! C’est un long travail certes et c’est plus facile de licencier une infirmière car on sait tout de suite le coût! L’organisation ne coûte pas si cher qu’on ne pense mais ça rapporte gros ! Il faut juste s’impliquer et s’investir dans parfois des petits changements (comme réorganiser les placards, revoir si tous les papiers à remplir sont vraiment nécessaires…parfois en double, alors que nous sommes à l’air de l’ordinateur etc… Il existe de nombreuses procédures à revoir! Bien sûr…Il faut de la volonté…. Bon courage ! L’erreur est humaine mais doit être stoppée au cours des étapes de la procédure pour ne pas arriver jusqu’au malade.

dedelirant
12 septembre 2014

Condoléance à la famille. Il faut en savoir plus sur les événements pour pouvoir tirer des conclusions.
Ce genre de catastrophe arrive souvent à la suite d’une répétition d’erreurs, de préférence de plusieurs personnes.
Injecter du chlorure de potassium en IVD est une très grave erreur. Mais on ne sait pas le contexte; l’a t’on envoyée faire une injection d’une seringue qu’elle n’avait pas préparée…
Dans tout les cas il y a un gros problème d’organisation du service : soit injecter un produit que l’on a pas préparé ou laisser une étudiante manipuler des molécules aussi dangereuses sans accompagnement, troisième année ou pas.
En tant qu’infirmier et tuteur de stage je suis catastrophé qu’une telle chose puisse arriver; bien que l’erreur soit humaine, elle est tout de même favorisée par la dégradation actuelle des conditions de soins.

Dhaou Meniaoui
13 septembre 2014

C’est pas sa faute pcq elle est superviser par un infirmier dans le service …

hugues dechilly
13 septembre 2014

à force de tirer sur la corde, elle finit par casser …
on remplace des IDE par des ESI ou des étudiants en médecine,
on remplace des AS par des ESI ou des étudiants en médecine,
on ne prend plus le temps de surveiller correctement les ESI car les conditions de travail sont toujours plus contraignantes avec toujours moins de personnels …
et des erreurs de ce type il en arrive tous les jours un peu partout mais elles sont plus que moins tenues confidentielles car ce genre de pub est néfaste pour le classement annuel dans « le Point » (par exemple) …
la nouvelle réforme des études infirmières est aussi une des conséquences de ce genre de désagrément et la « simplification » annoncée il y a peu du contrôle des connaissances ne va pas arranger les choses …

Emeline Hillairet
13 septembre 2014

facile de se retrancher derrière l’ide référente…

Pascal Picard
13 septembre 2014

Une belle collection d’erreur!?!
A la justice d’agir

Veronique Debresi
13 septembre 2014

Il y a un manque d encadrement au niveau des élèves certes….mais cette élèves de 3eme année à telle fait des vérifications avant de donner ses traitements….erreur est humaine certes mais confondre les traitements dans un service de cancérologie ou un autre….relève de la responsabilit è de cette élevé et de sa référence IDE. ….mais j ai juste une pensée profondeur pour ce patient qui n à rien demandé et qui menait son combat contre le cancer….je sais de quoi le parle…je ai été patienté et soignante avant….et effectivement travailler moins vite et plus sereinement serait impératif pour les personnes que L on soigné. …C EST UNE PERSONNE HUMAINE.
Malheureusement si les choses ne change pas…..des erreurs grosses comme celle ci se reproduiront…..
Tout ça pour vous dire qu on ne joue pas avec la vie des personnes quand on L à tient entre ses mains….que L on soit ide ou eleve IDE dans la prise en charge des soins….UNE PENSÉE POUR CETTE JE UNE ELLE IDE ET POUR LA FAMILLE DE CE PATIENT

Veronique Debresi
13 septembre 2014

Pour la famille de ce patient….je vous présente toutes mes condoléances. …une aide soignante qui n est plus en accord avec ce monde medical

Laëtitia Cugnet Barboni
13 septembre 2014

les responsables sont ceux qui font de la restriction personnel voila le resultat condoleances et courage a cette eleve

Celine Dedelaperf
13 septembre 2014

On nous demande de plus en plus ! Une fois qu’on a envadré l’étudiant ou l’étudiante pour les soins , au bout de quelques soins Perso je ne vérifié plus les soins , je jette un coup d’œil de temps en temps mais en troisième année on les forme a être autonome et future infirmière ! Le soucis est l’augmentation de soins ( techniques et surtout administratifs ) et on a de plus en plus de mal a les encadrer ! Perso je privilégie avant tout déjà le côté théorisé avant de faire des soins techniques ( essentiel )

Barbara Munier
13 septembre 2014

L’horreur pour tout le monde dans cette affaire… Quel drame !!!

Laeti Tia
13 septembre 2014

Le cauchemar de ttes les IDE !!! 🙁

Geneviève Labrousse
13 septembre 2014

Dans un hôpital bien tenu comment est-il possible de confondre deux produit aussi différents? L’étudiante ne serait-elle pas un « bouc émissaire »?

El Drago Salsero
13 septembre 2014

jr suis triste pour le patient et cette eleve qui voit sa vie detruite

Loïc Coutot
13 septembre 2014

Malheureusement sa arrive et arrivera tjr. Apres certaine chose ne devrait pas etre confie a des etudiant…

Carole Merline
13 septembre 2014

Malgré le drame auquel chacun peut être confronté, qu’il soit médecin, infirmier, aide soignant, pompier, secouriste… L’erreur peut malheureusement être là… C’est pour cette raison que ces divers corps de métier cessent de se prendre pour les rois du monde car ils ne sont pas à l’abri d’une erreur…..

Rodolphe Haudre
13 septembre 2014

Comment ce fait il que les labos ne trouve pas une solution pour colorée le kcl en rouge!!!!… C’est pas le premier incident avec ce produit mais surtout vérifier le produit que vous injecter en IVD!!!!!!!!…merde quoi

Romain Clermont
13 septembre 2014

En tant qu’étudiant en 2 eme année je plains énormément cette étudiante !!!! Quand vont ils comprendre que seulement 6 stages en 3 ans, de plus quand on peut se retrouver au collège 10 semaines, c’est pas suffisant !!!!! On va à la chasse de la validation des compétences etc…… Courage à cette étudiante qui aurait dû être encadrée du début à la fin

Domie Mesure
13 septembre 2014

Si les professionnels de la santé se sentaient plus concernés par les étudiants on aurait pas ce genre d’erreur irréparable……et si les ministres de la santé n’avaient pas interdit les couleurs qui permettent de différencier les produits ceci ne se serait jamais passé!!!!!aujourd’hui une famille est malheureuse et une futur infirmière devra vivre avec cela en tête…je souhaite que cette terrible expérience lui soit bénéfique pour les futurs professionnels qu’elle aura sous son aile

Mélanie Vincent
13 septembre 2014

vu comment les planning infirmiers sont fait on ne peut déçament pas être auprès de nos patients et derrière nos étudiants même avec toute la volonté du monde ( actuellement tutrice) ! comment encadrer des étudiants en toute sécurité ( pour étudiant et pour les infirmières ! ) sans être en dehors du planning ? on vous demande d’être sur chaque soin avec eux , de vérifier leurs démarches de soins et de faire votre boulot en même temps !!!! les jours ne rallongent pas et les administrations de prévoient pas ce temps d’encadrement ! et ils se demandent pourquoi çà arrive ce genre de problème !!!! non mais réveillez vous !!!

Cécile P. Salihaa
13 septembre 2014

Hediyè Cak?r

Sevriine Davison Rusti
13 septembre 2014

Priscy Pa Mailei

Sarah LOva
13 septembre 2014

voila le pb en france … les stagiaires sont laissées à l’abandon plus de vérification et d’apprentissage !! au lieu d’attendre un rendement « gratoss » venant de stagiaires … c’est honteux … belgique 1-0 f rance !!!!

Priscy Pa Mailei
13 septembre 2014

Sevriine Davison Rusti c’est chaud qd meme

Brigitte Caumette
13 septembre 2014

Et cela tombe toujours sur les mêmes! on se sert d’élève pour faire le boulot alors qu’elle ne doit pas compter dans le personnel, l’infirmière référente devait vérifier avant et non pas constater après c’est navrant de foutre en l’air la vie de cette fille.C’est vraiment malheureux pour le patient. On vit une époque où il ne faut vraiment pas être malade!!!!!

Kev Guillemin
13 septembre 2014

Par manque de moyen dans les hôpitaux, les stagiaires font parti de l effectif annuel! Ce qui est honteux! Qu on arrête de compté les stagiaires comme faisant intégralement parti du planning! L erreur qui s est produite n est pas que de la responsabilité de l étudiante mais aussi du manque de moyen mis en œuvre dans le domaine de la santé! Ne l oublions pas!!!

Mandy Chadzelek
13 septembre 2014

Malheureusement de nos jours et dans notre protocole infirmier aucun étudiant qq que soit son année ne doit aller seule dans une chambre pr tout…. et surtout dans ce genre d’injections. …. l’élève à commis une erreur mais pour moi l’équipe en poste à ce moment est à accabler et non elle…. une surveillance accrue doit être faite lorsque l’on a des étudiants en stage ….mais l’encadrement de nos jours et de + en + médiocre voir invisible. …n:-( triste réalité du mon de la prise en charge des patients.

Mélanie Delacenne
13 septembre 2014

Elle ne sera pas infirmière … Malheuresement pour elle, presque arrivait au bout de la formation, elle ne pourra plus exercer ce métier car elle va être exclue de son école.

Mélanie Delacenne
13 septembre 2014

Je ne comprends pas pourquoi dès qu’il se passe quelquechose on remet la faute sur la nouvelle réforme !! Le problème actuel c’est que l’on est très mal encadré, tout ce que l’on nous apprend en stage c’est de pouvoir gérer le service, gérer l’administratif pour aider les soignants ! Niveau connaissances on ne nous apprend rien en stage !! Le problème c’est l’encadrement ! Et d’ailleurs même avant la réforme il y a déjà eu des cas d’injection de K+ en IVD ! La réforme est hors sujet dans ce débat !!

Mélanie Vincent
13 septembre 2014

Désolée de te contredire mais maintenant avec cette réforme vous faites moins de stage différents ce qui fait qu on retrouve régulièrement des étudiants de 3e année n ayant pas fait un seul stage en service hospitalier et qui arrive dans un service difficile comme la cancero ( dont je fais parti) avec des connaissances limitées aussi bien technique que théorique. De plus nous sommes obligés en tant que professionnel de nous occuper de nos patients et de nos étudiants en même temps sachant qu un étudiant met 3 fois plus de tps pour faire un soin en technique qu une infirmière et qu on demande à cette même infirmière de faire son boulot en un minimum de temps avec un minimum de moyen et de plus en plus de responsabilités pénales

Mélanie Vincent
13 septembre 2014

Je pense au contraire que c’est en stage que vous apprenez réellement ce que sera la réalité de notre métier et les responsabilités qu’il implique

Jean-Aurélien De Nightingale
14 septembre 2014

En troisième année, l’ESI doit avoir les capacités nécessaires et le niveau pour 1. vérifier la prescription et l’identité et 2. maitriser ce qu’elle injecte, y a un moment donné, faut arrêter de taper sur la gueule des encadrants. A mon avis, elle risque de plonger bien seule…

Jean-Aurélien De Nightingale
14 septembre 2014

Ce n’est pas parce qu’on est ESI que cela dégage de toute responsabilité. A bon entendeur…

Anelyse Berthe
14 septembre 2014

Et avec la nouvelle formation, ça sera de plus en plus fréquent…. on court à la catastrophe !!! J’ai peur d’être prise en charge un jour…

Rodolphe Haudre
14 septembre 2014

Vérifier ce que injecter en IVD ne nécessite pas x mois de stage … Il faut être rigoureux !!.rien n’excuse de ne pas vérifier un médicament injecté en IVD …ou alors la personne n’as rien compris a ce que ce métier engage!!!!

Rodolphe Haudre
14 septembre 2014

3ème année et pas voir qu’on injecte du kcl!!!….qu’à t elle fait les années d’avant… Je me questionne sur elle pas sur le système ou la formation si maintenant une étudiante de 3 année ne sait pas qu’on injecte pas du kcl en IVD que sais r elle?qu’a t elle retenu de ses étude ou stage?..qu a tel fait du travail perso en pharmaco?en connaissance lors des stages???

Rodolphe Haudre
14 septembre 2014

Avis partagé!!!!!

Ann Mk
14 septembre 2014

Elle le  » sait » peut-être …. !?
Ce que ns ne savons pas :ce qui c’est passé dans cette situation …

Sarah Poteau
14 septembre 2014

Oui il y a toujours un contexte, un enchaînement d’évènements qui amène à de telles situations… Des erreurs ont en a tous fait ! C’est l’épée de damoclès du soignant. Il y a juste des différences de pallier dans l’erreur. Oublier de cocher un soin fait dans le dossier du patient est une erreur, oublier de transmettre une information à son équipe est une erreur, faire passer une poche de perfusion en 10h au lieu de 24h est une erreur, rentrer dans la chambre d’un patient pour lui faire son soin et en ressortir sans avoir pris le temps de lui parler quelques instants est une erreur !
L’erreur est partout ! Nous en faisons tous ! A différents niveau, c’est tout ! Que celui qui n’en a jamais fait se manifeste tout de suite, pour qu’il serve de modèle à l’humanité entière svp !!!

Pauline Francois
14 septembre 2014

Si les étudiants n’étaient pas laissé seuls ça arriverait moins… C’est facile de chercher un coupable! Ce ne sont pas de professionnels alors remettre le système en cause ne serait pas une mauvaise chose. Un homme est encore mort à cause du laxisme des équipes soignante qui délégue de trop!

Audrey Levy
14 septembre 2014

Bein deja que les nouveaux étudiants ne savent rien faire parce qu’ils ont 3 stages qui se courent au cul, si en plus on ne leur délègue rien alors je ne tiens même pas à voir ce qui se passera dans le service quand ils seront en poste…. et puis faut savoir ce que vous voulez parce que si c’est pas en stage que vous pratiquez c’est quand? Sur vos mannequins en plastique?

Monique Salmon Lépée
14 septembre 2014

Jusqu’à quand l’étudiant ne doit pas être seul ? Le lendemain de son diplôme d’état, comment va-t-il faire ? Il doit prendre ses responsabilités et utiliser ses connaissances tout au long des études! Elles durent quand même 3 ans ! Et si vous ne savez pas… Eh bien vous posez des questions… A part une infirmière acariâtre de temps en temps tout le monde vous répondra je pense ! Faites vous même des recherches…. Surtout mettez vous toujours en mode vigilance ! Et pendant toute votre carrière !!! Bon courage !

Monique Salmon Lépée
14 septembre 2014

D’accord avec vous!

Pauline Francois
14 septembre 2014

J ai fais l’école d’IDE je sais donc de quoi je parle. Et les professionnels deleguent. Je n’ai pas dis que l’erreur d’un professionnel était impossible. Je dis juste que si ils étaient vraiment encadrés en aurait moins. Je ne juge pas les actes ni les personnes. Certes si il.y avait plus de personnel se serait bénéfique pour tous. Patients étudiants élèves et professionnels de santé

Sarah Poteau
14 septembre 2014

Travailler avec méthodologie, rigueur et attention est l’une des clés pour réussir à faire moins d’erreur ! Devenir professionnel ! C’est un apprentissage ! Nous sommes responsables de nos actes mais aussi ceux des autres d’une certaines façon. L’entraide, est important ! Demander de l’aide, donner des conseils, les valeurs relationnelles dans les équipes doivent être plus ancrées.
Privilégier l’authenticité, la bienveillance, plutot que la critique. Voilà ce qui peut aider à élever la qualité de notre travail.
Mais aussi la communication, la confiance, la gestion de l’émotionnel sont des atouts incontournables pour favoriser des bases solides sur lesquelles s’appuyer dans nos métiers. Il est primordiale d’être dans un processus d’auto évaluation de ses propres pratiques, être humble.. Reconnaître que nous ne sommes pas parfaits. On a toujours à apprendre des autres, c’est la richesses de notre métier. Ce drame nous apprend aussi, que nous ne sommes pas infaillible… ça fait peur aussi, parce que ça pourrait être nous(étudiante/patient décédé), un proche.. c’est révoltant et injuste aussi…

ARMENIEN51
14 septembre 2014

J’ai relevé cette réaction qui est bien la triste réalité:
« A mes yeux ni l infirmière ni l étudiante sont réellement responsable de cette tragédie . Les vrais responsables sont nos directions et notre chère et bienveillante ministre de la santé . Ce sont qd même bien eux qui jouent la politique du rendement aux détriments des patients »

résultat:un décès
une famille en deuil
une JF à la carrière brisée
un ministre que cela n’empêchera pas de dormir

Audrey Levy
14 septembre 2014

Moi je suis infirmière depuis 7 ans et avant j’étais moi aussi étudiante donc je sais également de quoi je parle. en troisième année en général si on te laisse faire un soin c’est que tu as prouvé que tu étais capable de gérer le soin et que tu n’étais pas un danger pour le patient mais normalement si tu es un danger on t’as fais dégager avant d’arriver jusqu’en 3 ème année. J’ai toujours été encadrée par les professionnels de santé et jencadre à mon tour les étudiants et si je vois que l’étudiant gère un soin je pense notamment aux prises de sang ou à certains pansements simples alors je laisse l’étudiant gérer. ..à mon époque une troisième année devait savoir prendre en charge un secteur mais ça c’était le temps des msp…

Carolinette Gaïa
14 septembre 2014

pensée à la victime ses proches mais aussi cette ide qui doit être sacrément mal moralement parlant

Sarah Poteau
14 septembre 2014

C’est une question de statut. Si l’élève à répondu a certains critères jugés satisfaisants par l’ide, elle peut laisser faire l’étudiant. Tout comme l’Ide qui a passé son DE, elle a été reconnu apte. Le truc c’est que la responsabilité d’une élève est partagée avec son tuteur. Quand tu as le statut d’IDE t’es responsable de toi-même.
Une validation n’écarte pas l’erreur, c’est un des moyen qui permet de filtrer, pour laisser place à du personnel reconnu avec des compétences pour ces métiers.
Si la personne a fait son maximum pour réaliser son travail et qu’elle a fait une faute c’est quand même pas pareil que pour quelqu’un qui n’a aucune conscience professionnelle.
Faire une erreur ne remet pas en cause les compétences d’un professionnel. Le contexte est à étudier…

hugues dechilly
14 septembre 2014

http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/13/1950923-bordeaux-patient-meurt-apres-inversion-medicaments-hopital.html

Extrait : L’injection a été faite par une élève infirmière, accompagnée par une infirmière titulaire, en présence de la famille du patient admis en soins palliatifs, a indiqué la magistrate. Elle a précisé que l’autopsie, pratiquée jeudi, avait «confirmé que l’injection était à l’origine du décès». Selon Mme Alliot, deux seringues se trouvaient à disposition de l’infirmière lors de l’injection. «L’emballage était étiqueté, mais pas la seringue», a-t-elle précisé, évoquant une «erreur d’inattention, une imprudence».

Hugo Laguigne
14 septembre 2014

Laurine Mastrangelo 🙂

Go Tatie Zuzu Tralala
14 septembre 2014

Le résultat des nouveaux programmes….

Audrey Simon
14 septembre 2014

Avoir des élèves à encadrer est un vrai chalenge pour les infirmières ! En plus de leur apprendre des soins techniques , il faut revoir toute leur connaissance théorique qui est loin d’être au point et qui devrait être acquise ( temps passé en cours à l’IFSI et recherche personnelle ) . Il faut les surveiller comme le lait sur le feu …

Tessa Pernot
14 septembre 2014

Noémie Baude

Querrien Roselyne
14 septembre 2014

Quelques soient les circonstances ils faut appliquer les règles de base de notre métier: on injecte pas ce que l’on a pas préparé soit même. Est ce qu’il ne vaux pas mieux, même en tant que stagiaire, passer pour une « emmerdeuse », appliquant les codes de bonne pratique, plutôt que d’avoir la mort d’un patient sur la conscience.? Arrêtons de rejeter la faute sur l’institution, le système.. Bien sur il n’est pas parfait mais revenons aux fondamentaux: la conscience professionnelle individuelle. L’enjeu est trop important. C’est bien de réflexion personnelle dont il est question. Se poser, réfléchir, s’affirmer avant d’agir, même devant l’urgence ou le  » laisser aller » de certains… Prendre du recul.. C’est cela aussi être un bon soignant..

ARMENIEN51
14 septembre 2014

Je suis diplômé depuis 1981; d’une part, j’ vu les études changer et pas en bien à mon goût.
Depuis 12 ans, j ‘occupe un poste auprès des Cadres de Santé en EHPAD.
Les arrêts maladie sont de plus en plus nombreux, personne ne se penche sur la cause de ceux-ci.
Il y a un réel malaise.
Les étudiants en soins infirmiers sont comptés dans les effectifs, malgré l’interdiction: j’en ai récemment interpellé une pour lui demander si c’était autorisé actuellement; non mais si on refuse on se fait mal noter et l’IFSI ferme les yeux!
Édifiant et écoeurant.
J’ignore ou on va, pas dans la bonne direction en tous cas..

Virgin'y Contix
14 septembre 2014

Je ne me permettrai pas de juger cet EIDE, l’erreur est la fatalité des conditions de travail . Et quand en 3eme année, c’est son premier stage technique, comment voulez vous faire. A faire 20 semaines de psy, 10 de gériatrie on deviens limite ds les soins techniques. …

yzayza
14 septembre 2014

Je suis infirmière épinglée « nouveau programme ». Quand la profession va-t-elle cesser de critiquer cette nouvelle réforme? Quand allez-vous comprendre et prendre conscience que c’est l’ancienne réforme qui l’a réclamée! quand allez-vous vous prendre par la main et rejoindre les nôtres pour travailler ENSEMBLE? Je ne me permettrais pas de critiquer l’ancienne réforme puisque je n’en n’ai pas fait partie.Ce que je sais, c’est que les modules s’imbriquaient bien mieux qu’aujourd’hui. Ce que je sais c’est qu’il y a eu des erreurs AUSSI par le passé, relisez votre actualité! On ne connait pas les conditions dans lesquelles cet acte s’est réalisé. Erreur d’étiquetage? pression de l’équipe vis à vis de cette apprentie en soins infirmiers? a-t-elle préparé elle-même l’injection? lui a-t-on sommé d’aller injecter? On n’en sait rien, on n’a aucun élément.Alors, arrêtez de profiter d’un fait d’actualité dramatique pour remettre en cause le nouveau programme d’études en soins infirmiers qui, par ailleurs, nous demande beaucoup de réflexion. Alors….réfléchissez…..mais bien!

Angélique Donnadieu
14 septembre 2014

Malheureusement c’est une des conséquences dramatiques de la rentabilité qui régente désormais les hôpitaux, cliniques, EHPAD … Manque de personnel, heures sup., auquel on rajoute des étudiants à former, des timing à respecter pour tout acte …

Little_asa
14 septembre 2014

Faux, relisez le référentiel de formation. Un ESI a aussi une responsabilité:

L’article L. 4311-12 CSP précise notamment que « l’exercice de la profession d’infirmier est permis aux étudiants préparant le diplôme d’Etat pendant la durée de leur scolarité, mais seulement dans les établissements ou services agréés pour l’accomplissement des stages ».
Ainsi, bien qu’il reste en phase d’apprentissage et d’acquisition de savoirs, l’étudiant en soins infirmiers en stage est totalement responsable des actes qu’il réalise.

Ce qui change, c’est qu’au lieu d’une personne, ce sont 2 personnes qui sont impliquées au niveau des responsabilités, l’ESI et l’IDE.

Little_asa
14 septembre 2014

Ou pas, car se retrouver jeune IDE sans soupape de sécurité pour effectuer un soin nouveau entraîne tout autant de risque non? 🙂

Little_asa
14 septembre 2014

Le renvoi n’est pas systématique vous savez…

Frederic Andrieux
14 septembre 2014

oui , mais comment injecter du chlorure de K à la place d’un corticoide…. soit elle sait pas lire , soit elle est debile !!!! elle a du se tromper d’orientation au depart ….

Little_asa
14 septembre 2014

Je suis d’accord. Ne pas laisser seul un ESI, c’est faire un jeune IDE paumé, qui ne saura pas gérer. Passer de coocooné sans arrêt à seul pour un service, c’est un coup à faire une décompensation psy (j’exagère, mais quand même!)

Il semblerait qu’il y ait eu un problème d’étiquetage de seringue en fait:

http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/13/1950923-bordeaux-patient-meurt-apres-inversion-medicaments-hopital.html

Et ça, ça peut arriver à tout le monde dans la précipitation, ESI, jeune ou ancien IDE.

Little_asa
14 septembre 2014

Il suffit que les 2 seringues aient été préparées en même temps, et pas remises dans le bon emballage, et voilà… D’où le double étiquetage (emballage avec étiquette patient, et seringue avec étiquette pharmaco et nom du patient)… et si on a un doute, on jette et on refait.

Après on ne connait pas le contexte, si cela était dans l’urgence ou pas, il y a tellement de facteurs qui peuvent amener à une erreur… cela doit juste nous rappeler à tous d’être extrêmement vigilant…

Sylvain Scapa
14 septembre 2014

C’est facile de taper sur une stagiaire, non encadrée. C’est plus dur de monter jusqu’à la cadre qui aurait du faire son travail (encadrer) au lieu de surveiller les plannings de présence. Mon amitié à cette pauvre élève infirmière. Un toubib qui passe par là…. 😉

Oum Aya
14 septembre 2014

La pauvre ne la jugez pas à force de mener les étudiants et ide à bout ont n est pas à l abri d une erreur on n’a bcp de soins et patients à gérer en MM temps

Omar Berour
14 septembre 2014

La faute incombe à la cadre du service c est elle qui gère et organise son service l élève est là pour apprendre donc elle doit être encadrée et non pas faire le travail d une ide par manque d effectif, si les cadres bougeaient un peu leur cul au lieu de dormir sur les planing alors cela n arriverait pas…..1 ide/ibode qui passait par là.

Ilyess Aziz
14 septembre 2014

On ne doit pas quoi dire dans ces cas , au moins comment peut on l’éviter dans l’avenir …. Parce que ça arrivera encore.

hugues dechilly
14 septembre 2014

compte tenu de l’évolution – négative – des conditions de travail/exercice professionnel infirmier qui ne permettent plus d’encadrer correctement les ESI sur les lieux de stage, au chevet des patients, ne serait-il pas mieux de demander un moratoire pour réfléchir – tranquillement – à la fois sur les modalités imposées aux titulaires et relatives à cette obligation professionnelle d’encadrer/de former les étudiants et en même temps de repenser cette (déjà ancienne) nouvelle formation initiale qui ne satisfait personne et qui fait l’objet de changements quasi permanents, au nom du principe de précaution cher à certains abrutis qui connaissent tout sur tout sans jamais mettre les pieds dans un service de soins ???
sachant que le nombre de diplômés est trop important (paraît-il) aux besoins ?
parce que même en ayant les épaules pas frêles et donc larges, çà commence sérieusement à faire yeche …
ce regrettable incident de Bordeaux n’est que l’arbre qui cache une forêt bien plus dense et il n’est pas rare de devoir constater les insuffisances graves de certains ESI à la fin de leur formation …
personnellement, je refuse d’encadrer depuis plusieurs années …

Lyline Vyvine
14 septembre 2014

😮 Pauline Joassard

Gros Blochon
14 septembre 2014

Et l’infirmière qui a son DE il lui est arrivé quelquechose???

Alterane
14 septembre 2014

En lisant les commentaires, on a l’impression que tout paraît si limpide! N’importe qui peut faire une erreur d’administration n’importe quand. La nouvelle réforme, que ça plaise ou non, forme des professionnels de santé comme elle formerait un ingénieur: sur la théorie. Et la baisse niveau se ressent, c’est comme ça, qu’on le veuille ou non, c’est un métier de terrain. La diminution du personnel hospitalier favorise ce genre d’incident. Une infirmière doit tout faire, vérifier les prescriptions, faire les soins, l’administratif, le relationnel, penser à tout, et surtout à coordonner. En vous écoutant, ça a l’air tellement simple d’encadrer les étudiants, oulala, les vilaines infirmières qui délèguent! En attendant, on verra ce que vous donnerez quand ce sera votre tour… Mes sincères pensées à cette jeune fille qui doit avoir bien du mal à dormir, à la fille qui l’encadrait pour qui ça doit pas être bien mieux, et évidemment à cette famille qui paie le manque d’effectif.

Cédric Scheiwe
14 septembre 2014

Entièrement d’accord avec tout ce qui est dit… Je nuancerai quand même en disant que faire du KCl en iv rapide… Faut se poser un minimum de questions…

dominiquee
14 septembre 2014

TIssus de conneries , Il faut arrêter de dire n’importe quoi ! :

1) Le Kcl n’est pas allergisant et n’entraine pas la mort par choc mais car il est cardiotoxique (les cellules cardiaques utilisent le K+ pour leurs activités electriques) et entraine des troubles du rythme cardiaque : Fibrillation ventriculaire et asystolie (et donc mort subite)

( 2) et en plus un choc d’origine allergique c’est ce qu’on appel un choc anaphylactique (et non un choc cardiogenique) )

ARMENIEN51
14 septembre 2014

Quelle intelligence dans cette réponse!!
Quel métier exercez vous?
Vous faites partie des personnes s’inscrivant sur tous les forums pour y écrire des niaiseries?

ALi Zée
14 septembre 2014

ca fait froid dans le dos ;(

moutarde
14 septembre 2014

L’ESI n’était pas seule il semblerait…

yzayza
14 septembre 2014

Je suis infirmière épinglée “nouveau programme”. Quand la profession va-t-elle cesser de critiquer cette nouvelle réforme? Quand allez-vous comprendre et prendre conscience que c’est l’ancienne réforme qui l’a réclamée! quand allez-vous vous prendre par la main et rejoindre les nôtres pour travailler ENSEMBLE? Je ne me permettrais pas de critiquer l’ancienne réforme puisque je n’en n’ai pas fait partie.Ce que je sais, c’est que les modules s’imbriquaient bien mieux qu’aujourd’hui. Ce que je sais c’est qu’il y a eu des erreurs AUSSI par le passé, relisez votre actualité! On ne connait pas les conditions dans lesquelles cet acte s’est réalisé. Erreur d’étiquetage? pression de l’équipe vis à vis de cette apprentie en soins infirmiers? a-t-elle préparé elle-même l’injection? lui a-t-on sommé d’aller injecter? On n’en sait rien, on n’a aucun élément.Alors, arrêtez de profiter d’un fait d’actualité dramatique pour remettre en cause le nouveau programme d’études en soins infirmiers qui, par ailleurs, nous demande beaucoup de réflexion. Alors….réfléchissez…..mais bien!

yzayza
14 septembre 2014

Euh….Vous le connaissez le nouveau programme??
10 compétences à valider qui se divisent en sous groupe et 60 partiels sur les 3 ans….Serait-ce si peu…???

yzayza
14 septembre 2014

Et quand vous fûtes étudiante….vous mettiez trois fois plus de temps aussi….?

yzayza
14 septembre 2014

3 stages? Mais…renseignez-vous madame…..Rajoutez en 4, donc 3 + 4 = 7, soit
60 semaines de stages…n’est-ce pas le même nombre de semaines que l’ancienne réforme….?Mmmm?

yzayza
14 septembre 2014

Tout à fait de votre avis!! Il y aurait tant à dire….encore….

Tigouid Tigouid
14 septembre 2014

Stage de 3 ème année en chimiothérapie , je me rappelle que j étais seule pour poser les préparations faites sous surveillance et je n avais jamais travaillé dans un tel service, on considère qu en 3 ème année vous pouvez tous faire comme un IDE diplômé. On était 3 étudiants dont une 2 ème année ( début) pour une IDE encadrante et pendant ce stage un papi dans les vapes après qu elle est posée une sap de morphine encadrée par l autre élève de 3 ème année. Papi récupéré In extremis et incident passé à l oubliette. Alors non je ne lui jette pas la pierre à cette étudiante qui doit être au plus mal et toutes mes pensées accompagnent la famille de ce patient. C ça la réalité aujourd’hui maintenant faut se poser les bonnes questions.

ludodu381
15 septembre 2014

Je me permet de régir car certains propos me font bondir:
jeune DE depuis 1 an je peux vous assurer que le contrôle des connaissances est réalisée d’une maniéré soutenue en IFSI, plus de 60 partiels !!! en avez vous fait autant ? certains services réalise même des MSP formatives voir des DE blanc: souvenir d’un service de neurochirurgie ( fin de 3éme année) ou j’ai démarré à 14h30 et fini a 18h30 avec la cadre du service et une de mes enseignante qui m’ont suivi toute l’après dans la prise en charge de mon secteur de patients. cette nouvelle formation tant décrié par beaucoup « d’anciens » me semble cohérente mais une des clés et l’investissement de l’étudiant dans sa formation et surtout savoir dire quand on ne sait pas faire un soins ou si on est pas au point dessus.
le problème majeur des services est le manque de temps pour encadrer correctement les ESI, cela arrange bien d’envoyer l’ESI faire certains soins !!!! . mais cette l’autonomie est primordiale pour prendre confiance en soi. il faut donc bien savoir ce que l’ESi sait faire ou pas est cela se prépare en amont.
je compatis avec cette ESI qui doit être dans une état de détresse psychologique et j’ai une énorme pensée pour la famille du patient.
Une erreur et s vite arrivée j’espère de tout cœur que cela ne m’arrivera jamais !!!!
Alors Mme Touraine allez vous sortir de votre silence est enfin considérer notre métier: on parle beaucoup des policiers, des enseignants mais jamais de la santé pensez vous que les soins se fassent tout seul, avez vous si peu de d’estime pour nous les soignants !!! pour qu’un pays puisse produire il faut des citoyens en plein possession de leur santé et surtout des professionnels de santé !!

ludodu381
15 septembre 2014

le résultat de l’encadrement terrain ………….

Laurent Ou Tant
15 septembre 2014

Mais quand t es en troisième année il te reste quand même un tiers de ta formation à faire, c est assez énorme

ludodu381
15 septembre 2014

et bien en voila un commentaire très nulle !!!!

ludodu381
15 septembre 2014

renseignez vous avant de sortir de telles âneries, jeune DE de ce nouveau programme ou je ne sais rien faire d’après vous, je suis en poste aux urgences et je n’ai pas l’impression d’être a la rue par rapport à mes collègues. pour ma part j’ai fait 55 semaine de stages !!! et vous ? avec votre super formation qui à tant été décrié en 93 par les anciennes de l’époque !! en faite vous reproduisez les mêmes réaction !! ah le changement c’est vraiment dur !!

ludodu381
15 septembre 2014

Ne sortez plus alors restez chez vous !!!!! comme ça rien de pourra vous arriver 😉
et bien moi j’ai vécu l’inverse une veille IDE à la ramasse et une jeune DE au taquet comme quoi !!!!!

Pauline Francois
15 septembre 2014

Vous peut être et je trouve ça respectable. Mais lequel équipes ne sont las toutes comme vous. En tout cas pour moi ça ne c et pa passé comme ça. Pas pour tout mes stage certes mais pour pas mal des lieux de stages choisi par mon ifsi.

ARMENIEN51
15 septembre 2014

C’est dommage que ce fait dramatique tourne au règlement de comptes entre professionnels; il est évident que chacun va estimer sa formation meilleure à une autre; tout le monde pense qu’il manque du personnel; Il faut faire des économies, et on commence par le personnel.On ne remet pas en cause les mauvaises gestions nombreuses et diverses.
Les personnes de notre gouvernement qui prône les économies ne seront jamais confrontées à ce type de personnel.
Au Val de Grâce, aucun souci pour se faire soigner;!
La seul chose que je ne comprends pas: la présence de Kcl mis en seringue à côté des corticoïdes.
Pour finir, je cite: »Alors Mme Touraine allez vous sortir de votre silence est enfin considérer notre métier: on parle beaucoup des policiers, des enseignants mais jamais de la santé pensez vous que les soins se fassent tout seul, avez vous si peu de d’estime pour nous les soignants  »
C »est malheureusement le cas depuis bien longtemps: de + avec les assignations en cas de grève, personne dans la rue; pourquoi?Tout le monde est assigné car en service minimum!!

Little_asa
15 septembre 2014

Les nouveaux programmes n’ont rien à voir là-dedans. Une erreur d’inattention reste une erreur d’inattention, qu’importe le programme. Des injections de KCL, il y en a eu aussi dans l’ancien programme et celui avant lui, faut arrêter de tirer sur le nouveau programme, qui a été demandé par les anciens il me semble non?

Little_asa
15 septembre 2014

Pour en finir avec cette guéguerre puérile « anicien-nouveau programme », je rappelle les faits d’erreur d’injection avec KCl:

http://www.omedit-centre.fr/potassium/co/1_Le_KCl_inj_tue_encore.html

(la nouvelle réforme a été mise en place en 2010, il y a eu des cas d’injections de KCl avec l’ancien programme).

Faut arrêter de déblatérer là-dessus, c’est pas le débat.

Situez le débat plutôt sur le manque d’organisation engendré par un manque d’effectif de plus en plus notable et surtout dommageable pour le patient.

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