IDEL infirmière libérale : un nouvel acte infirmier dans la NGAP

Rédaction ActuSoins
27 juin 2017 @ 17 h 52 min

Un nouvel acte infirmier est paru aujourd’hui dans le Journal Officiel : la séance à domicile de surveillance clinique et de prévention à la suite d’une hospitalisation pour épisode de décompensation d’une insuffisance cardiaque ou d’exacerbation d’une broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO). 

IDEL infirmière libérale : Un nouvel acte infirmier dans la NGAP

Ce nouvel acte, soumis à prescription médicale, comprend l’éducation du patient et/ou de son entourage, la vérification de l’observance, le contrôle des constantes cliniques et la participation au dépistage des complications.

La séance, dont le tarif s’élève à 18,27 € (5,8 AMI)  concernera également les programmes PRADO insuffisance cardiaque et BPCO. « Les interventions infirmières dans ce cadre étaient rémunérées AMI4 à titre expérimental, elles passeront à AMI 5,8…Vous pourrez dès demain facturer une séance de surveillance clinique et de prévention auprès des patients en retour d’hospitalisation après décompensation d’une insuffisance cardiaque ou d’une exacerbation de BPCO (Broncho-pneumopathie chronique obstructive)« , explique Philippe Tisserand, président de la FNI (Fédération Nationale des Infirmiers), sur son site. 

« C’est une reconnaissance des compétences infirmières qui se traduit sur le plan financier puisque le tarif de 5,8 AMI pour un acte seul est le plus élevé jamais connu dans l’histoire de la nomenclature« , ajoute-t-il. 

Le 19 octobre 2016, le directeur général de l’Assurance maladie, Nicolas Revel et les syndicats représentatifs avaient officialisé la création de ce nouvel acte à la NGAP nomenclature générale des actes professionnels

Rédaction ActuSoins (source : FNI)

Pour en savoir plus : texte du 27 Juin 2017, paru au J.O

Pour aller plus loin :

Formation NGAP Nomenclature générale des actes professionnels infirmiers
Formation – Nomenclature et BSI bilan de soins infirmiers
Formation NGAP nomenclature des actes professionnels infirmiers

Formation DPC Prado insuffisance cardiaque et BPCO (2019)
Formation DPC Le patient atteint d’insuffisance cardiaque et/ou BPCO : coordonner son retour à domicile

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181 réactions

Christelle Lopez
27 juin 2017

Vanes Leo

Agnes Cohen
27 juin 2017

Marjorie Bouriot

Jennifer Boulet Taglioli
27 juin 2017

Christelle Crepin

Haa Nouu
27 juin 2017

Fatima Halouani

Justine LGff
27 juin 2017

Marianne Lgoff

Sophie Lime
27 juin 2017

Bruno Guiot

GuYanaiise Mo Sa
27 juin 2017

Koumba Samassa a noter

Marjorie Bouriot
27 juin 2017

Dom Dom

Jude Lala
27 juin 2017

Stephanie Peulot

Marjorie Bouriot
27 juin 2017

Pas mal… Agnes Cohen

Sébastien Bories
27 juin 2017

En fait, ce n’est rien d’autre qu’un AIS 4 hebdomadaire majoré de 7,67 euros pendant 6 mois maximum, et soumis à conditions.

Stéphanie Legras
27 juin 2017

Alexandra

Elodia Point
27 juin 2017

Elodie

Sébastien Langlois
27 juin 2017

Il est déjà difficile d’avoir la mention « ide à domicile » sur les ordonnances de soins classiques alors « programme d’éducation et de surveillance en post hospitalisation par un infirmer à domicile  » …
Mais il faut souligner l’effort et la valorisation de notre pratique par ce nouvel acte.
Du coup Il devient étonnant de ne pas revendiquer la cotation des milliers d’autres actes de préventions et de surveillance liés à d’innombrables autres situations de soins.
À quand une étude qui prouverait l’efficacité de nos interventions en évaluant la non hospitalisation des patients suivis et sauvés par notre art ? Et donc les économies factuelles que nous faisons à la cpam …

Maxime Ferrer
27 juin 2017

Portes Maé Sandrine Clavé Hélène Darrimajou Joie

Justine Lbt
27 juin 2017

Jacqueline Bastin

Aurélie Lily Marius
27 juin 2017

Julien Caplier Corinne Ghesquiere Audrey Debove Olivier Vasseur si Ca vous intéresse

Rose Nicolas Desvallees Renouf
27 juin 2017

Lucie Leroux

Xavier Caunes
27 juin 2017

Pascale Lareng

Koumba Samassa
27 juin 2017

Je note. Merci?

Olivier Monciovi
27 juin 2017

Vanessa Franceschetti Bernard

Tiennou Pit
27 juin 2017

Marion MRot Benjamin Laville

Ruka Marques
27 juin 2017

Antho

Aurélie Sauvage
27 juin 2017

Manue Loïc

Tiphanie Guillaume Desplanche
27 juin 2017

Aurore Reveneau Guillet

Fifi Nagra
27 juin 2017

C’est simplement une question de coût : si on faisait « open bar » sur tout ce que l’on fait et sait faire, alors on coûterai bien plus à la collectivité que les 7 milliards d’euros annuels actuels.

C’est bien dommage, c’est vrai, mais c’est le propre d’un système comme le notre qui « offre » les soins, donc il doit les « rationner »… sinon, impossible d’avoir 120 000 IDEL à financer. Ou alors on reviens a un système de salariat ou de quotas…pour lesquels d’autres problèmes bien plus ennuyeux arrivent.

Sousou Afar
27 juin 2017

Fatiha Saadallah

Laurent Raidi
27 juin 2017

Il n’y a plus de formation obligatoire !!!

Karine Germon
27 juin 2017

Magali Karoll Emmanuelle

Coco Amrm
27 juin 2017

Terry Alfredo Emmanuel Verderame Tatiana Freytag

Sandra Giraud
27 juin 2017

Isabelle Giraud. Marianne Cuoq

Sylviane Lemaire
27 juin 2017

Super . C’est suite à une hospitalisation : Dans le cas d’une patiente avec 2 passages quotidiens , je facture 2 fois ami 5.8 ?

Fiona Schmitt
27 juin 2017

Loïc Wachtel

Gerald Demesy
27 juin 2017

AMI 5.8….mdr

Magali Marais
27 juin 2017

Ca prend effet qd?

Boubouille PJ
27 juin 2017

Quelle formation doit on avoir fait pr effectuer cette surveillance ?? Merci

Vanessa Franceschetti Bernard
27 juin 2017

??

Jennifer Simon Linard
27 juin 2017

Lucile Bertheau

Laurie Cluzeau
27 juin 2017

Marc Desmurs

Sébastien Langlois
27 juin 2017

Je ne suis pas d’accord, je défend l’idée d’une rétribution juste, pragmatique, adaptée. Le mérite se mesure au respect, ala reconnaissance et à la rétribution. On en est loin. Je ne demande pas plus mais mieux !
Votre vision est sectaire et dévalorisante. La même logique de rétribution doit été appliquée aux soignants quelque soit sa qualification.
Pourquoi le médecin doit être payé à la consultation quand nous devrions accepter l’idée d’un forfait ?
C’est bien la valorisation de notre qualification qu’il faut rémunéré et non le nombre de piqures à la chaîne …
Cela passe par l’évaluation de la plus value effective de notre travail, une véritable étude d’impact doit être réalisée.
C’est la qualité qu’il faut rémunérée pas la quantité !
Cela change toute notre démanche de travail et notre philosophie de soins ce qui poussera notre pratique quotidienne à être encore plus efficace pour la population.
De plus Si nous laissons le curseur de rémunération à la valeur quantitative alors il est très facile pour la cpam de nous couper les vivres et de nous remplacer.
Il faut voir nos interventions comme un traitement à part entière, en tant que tels il contribue au soin et mérite un minimum de reconnaissance. Bien moins chers que les traitements médicamenteux qui coûtent des milliards d’euros chaque année.
Nous n’avons pas le lobbying des labo alors organisons nous et donnons au ministère des études concrètes et scientifiques pour prouver l’intérêt financier de nos interventions.
Puisqu’ils ne parlent que chiffre, apprenons à parler comme l’administration plutôt que de s’enfermer dans nos arguments et notre langage de soignants qui leur est totalement étranger.
Rationner un soin c’est être pragmatique, c’est prendre le meilleur rapport qualité / prix… à nous de prouver que nous sommes bien meilleurs et plus rentable en préventif que les pilules curatives et les hospitalisations trop souvent évitables !

Ludovic Garcin
27 juin 2017

Lisa Coute ✌

Emeline Denecker
27 juin 2017

Melissa Glowacki

Melissa Glowacki
27 juin 2017

Bon à savoir ??

Tony Druard
27 juin 2017

Fifi…on est bien d accord que si l industrie du médicament et des dispositifs médicaux étaient bien plus contrôlés et mis en concurrence, ainsi que les transports ambulanciers qui ne font que du couché même pour une rééducation de genoux, si les pharmacies vendaient le médicaments à l unité…en somme on pourrait élargir les compétences des idels leur tarifications tout en augmentant le prix de la consultation médicale afin que les patients soient mieux soignés suivis et entourés tout en faisant des economies…

Quand tu vois que les injections pour la DMLA sont facturer en moyenne 1300 euros le produit alors que ca vaut même pas 30 euros…et que c est fait en 2 minutes !!!!! Enfin y a plein de trucs où l on peut pester et revoir les choses…mais quand les grands sont main dans la main…les petits sont écrasés…

Exemple flagrant….pkoi notre ministre veut élargir à 13 le nombre de vaccins obligatoire???? Entre temps l infanrix (hexavalent) est passé de 7 à 40 euros !!!!!!!!!

Il faudrait un vrai infirmier de terrain à la tête du ministère de la santé… en 1 an je te le rebouche le trou de la sécu….?

Emeline Denecker
27 juin 2017

?

Tatiana Freytag
27 juin 2017

Merci ?

Florian Richard
27 juin 2017

Clem Blanchard Yohann Augusto

Aurélie Sauvage
27 juin 2017

Difficile de taguer vero mdr ?

Manue Boba
27 juin 2017

A fond, peut être un jour qui sait? Lol

Laetitia Loti-Villanova
27 juin 2017

Florian Loti

Tya Marley
27 juin 2017

Jennifer John

Fifi Nagra
27 juin 2017

Cher Sébastien, très pertinent ce que tu dis. Il serait intéressant d’en discuter plus en détail.

Comme tu dis, il faut valoriser la qualité et mieux la rémunérer. Raison pour laquelle il faut la mesurer.
Ce que nous savons pas bien faire. Or aujourd’hui, l’Etat souhaite justement réguler tout cela avec ses critères.

Je t’encourage pour cela à assister à une formation sur la démarche qualité Qualidel ou venir discuter avec tes délégués syndicaux par exemple lors d’une reunion Rencontres & Echanges de tous les points – nombreux et intéressants – que tu as soulevés.

Tony Druard
27 juin 2017

Pourquoi tu ris !?!? Lol

Laurine Labeyrie
27 juin 2017

Marido Lucas

Fifi Nagra
27 juin 2017

Tony Druard parce que si tu es infirmier au Ministère de la Santé on est sortis du pétrin…et c’est pour cette raison que la place n’est pas – encore – dispo pour toi ?

Quentin Sabourin
27 juin 2017

Céline !

Tony Druard
27 juin 2017

Sébastien Langlois tu as tout dit…il n y a aucune étude économique en terme d économie pure par rapport à nos interventions… c est sur quoi nous devrions nous lancer afin de convaincre le législateur avec ce qu’il aime…les chiffres…

Tony Druard
27 juin 2017

Elle sera mon cher…elle le sera….lol

Fifi Nagra
27 juin 2017

Tony, ta CPAM dispose de chiffres : le nombre de patients dont tu t’occupes par an, leur âge, ce que tu leur facture et ce que tu coûtes globalement …et effectivement nous ne sommes pas en mesure de montrer ce que l’on évite comme dépenses à la collectivité.

C’est notre faiblesse.
Pourtant quand on dispose de chiffres, on nous écoute mieux : La FNI avait commandé une étude sur la différence de prise en charge des perfs entre les IDEL et l’HAD…ça a fait l’effet d’une bombe.

Mais d’un autre côté, nos amis technocrates, voient aussi que nous nous occupons de personnes âgées…qui coûtent aussi cher en pensions de retraite.

C’est cynique, certes…mais c’est le calcul qui est fait. Le savoir et le comprendre expliquent beaucoup de choses. Et cela doit répondre aussi à de nombreux points que tu as cités.

Ton intérêt, celui du patient et celui des comptes publics …ne sont pas tous alignés ?

Mely Melo
27 juin 2017

Marion Bataillie

Sébastien Langlois
27 juin 2017

Fifi Nagra la je vous rejoints sur les finances publiques.
Mais en partant du principe de la solidarité nationale, il me semble que le grand public ayant cotisé toute sa vie à droit au chapitre.
Il nous faut donc renseigner la population et avertir que leurs charges obligatoires ne servent plus qu’à une prise en charge minimale non pas pour des raisons scientifiques mais économiques car en parallèle la rentabilité bat des records au niveau des privés.
Il faut participer au réveil public auprès de nos concitoyens.
Sinon ces prélèvements pseudo solidaires mais clairement obligatoires deviennent une belle arnaque !
Tout cela passe par une revalorisation de notre savoir et de notre discours et donc par une attitude bien plus professionnelle de notre part que ce que l’on peut constater au quotidien.
Nous devons être autant respecter que d’autres acteurs de soins et cesser d’être juste un opérateur ou « au service de ».
Notre profession est banalisée et méprisée par le manque de corporatisme et de solidarité professionnelle et par le comportement souvent trop amateur de certains IDE.
Donc arrêtons de vouloir rentabiliser notre rôle sur prescriptions (dans le nier) mais il faut promouvoir et développer bien bien davantage de notre propre. Notre rôle propre pourrait prendre beaucoup plus de valeur, avec un droit de prescription contrôlé, légiféré…
Pourquoi ne pas défendre l’idée de module avec des spécialités, des concours, des stages …
Seul notre rôle sur prescription est considéré comme sérieux ! Ce qui est réducteur et nous réduit à un rôle d’exécutant !

Fifi Nagra
27 juin 2017

Sébastien je pense que vu la teneur de votre discours, plein de lucidité et de défis lancés à la profession, vous devriez vous rapprocher de la Fédération Nationale des Infirmiers pour travailler avec eux, dans un premier temps au niveau régional, sur ces sujets.

VanSs Louis
27 juin 2017

Mėl Weber

Auré Lie
27 juin 2017

Audrey Zlr

Audrey Zlr
27 juin 2017

Mylene Vintier

Caro Roux
27 juin 2017

T as un DE, Ça suffit j espère!! Ils vont pas encore nous inventer une formation bidon…

Marie Justine
27 juin 2017

Matheus Capoeira Equilibrio

Caro Roux
27 juin 2017

je suis d accord,tant qu on ne sera pas mieux rémunéré pour ce qu on fait tous les jours…. et tant qu on doit compenser par le nombre de soins et de malades cette insuffisance de reconnaissance.. on avancera pas… et je dois dire que ces coefficients et ces tarifs qu ils nous inventent… c est à rire…. 5,8AMI1…. pourquoi pas log10 ou exp30? Bientot nous devrons avoir fait maths sup pr facturer….

Caro Roux
27 juin 2017

Sébastien Langlois peut être que les hospitalisations sont voulues….. il faut bien que l hôpital remplisse ses lits….

Boubouille PJ
27 juin 2017

Caro j’ai un doute Car tout en bas c’est noté :  » facturation conditionné à la formation des Ide à ce suivi post hospitalisation « …

Raphaelle Alex
27 juin 2017

Julie Thiery Danin

Magali Temines
27 juin 2017

Sur notre secteur nous avons déjà des patients pour cette surveillance et personne ne nous a demandé de formation.

Alban Bou
27 juin 2017

Stéphane Hellinga

Nathalie Manet Roure
27 juin 2017

Anne Vandoit Mag Ali

Pedro Rabineau
27 juin 2017

Amélie Robert Marie-Gabrielle Piraud

Manon Levet
27 juin 2017

Sira Grace

Malek Beno
27 juin 2017

Oui c vrai qu’ il faut une formation pr la cardio mais pas pr les bpco….
Et du coup c ami 4 par semn.. ..ensuite ts les 15jr
Facturation papier a envoyé. …

Julien Caplier
27 juin 2017

Pourquoi pas !

Anne Clementine de la Tourette
27 juin 2017

Mo Jiti

Léa Ah
27 juin 2017

Do Riana

Do Riana
27 juin 2017

Alice Rdt

K-rin K-ron
27 juin 2017

Et vous faites quoi comme surveillance du coup Magali?

Benedicte Rene
27 juin 2017

Au départ la cpam avait dis que l on devait validet une formation en e.learning sur le site de cpam….j ai actuellement un prado ins. Cardiaque .. rien ne m à été demandé. ….ce sera peut être au moment du paiement lol!!!!

K-rin K-ron
27 juin 2017

C’est un peu le bazar donc! Moi je fais prescrire des pardo depuis 6 mois déjà et ça existe depuis bien plus longtemps que ça….je trouve pas ça très logique pour le patient à qui on « vend » un protocole de retour à domicile pour éviter les rehospiitalisations et finalement c’est plus du feeling qu’un protocole….

Laetitia Meyer
27 juin 2017

Enfin !!! Et espérons que les autres pathologies suivent !

Carole Magnier
27 juin 2017

Aurelie Debove, Dorothée Laurent

Corentin Manteau
27 juin 2017

Kelly Deffrennes

Marielle Coz
27 juin 2017

Et alors c’est nul , franchement on en suis combien des bpco ? 5 par an ! c’est le reste qu’il faut réévaluer !

Sèverine Pesqui
27 juin 2017

Marine Tropin et Denys Christmann

Mylene Vintier
27 juin 2017

Audrey Zlr oui ! Tres bien !!!

Boubouille PJ
27 juin 2017

K-rin K-ron n’oublie pas de donner mon nom ??

K-rin K-ron
27 juin 2017

Boubouille PJ ? fais moi un topo sur l’éducation BPCO d’abord!!! ?

Boubouille PJ
27 juin 2017

K-rin K-ron c’est toi la cadre, c’est à toi de me former ????

Elodie Frdn
27 juin 2017

Marion Arnold

Lauren François
27 juin 2017

Camille Provoost !

Lilian Choquart
27 juin 2017

Demain 😉

Camille Provoost
27 juin 2017

Oui j’ai vu ce matin ^^ no comment

Lilian Choquart
27 juin 2017

Benedicte Rene la sécu m’a dit qu’aucune formation n’était obligatoire dorénavant. Comme toi, j’en avais suivi une en e-learning

Lauren François
27 juin 2017

C’est ce que j’allais dire aussi ?

Lilian Choquart
27 juin 2017

Laetitia Delandre

K-rin K-ron
27 juin 2017

Boubouille PJ elle a bon dos la (pas encore) cadre!!! C’est un peu l’inspecteur gadget ou mac gyver selon les goûts!!

Laetitia Delandre
27 juin 2017

Bon à savoir…!
Solenne Langlois

Lilian Choquart
27 juin 2017

Emilie Guéroult

Anne Blaise
27 juin 2017

Rien à ajouter?

Khrys EmMa
27 juin 2017

La sécu me réclame un indu pour un Prado bpco qu’ elle m a elle même confié. … merci hein

Fifi Nagra
27 juin 2017

Caro Roux ils utilisent ces cotations comme l’AMI4,1 ou 5,8 car elles sont uniques dans la NGAP, c’est une façon pour eux de savoir si tu « abuse des bonnes choses » avec leurs outils statistiques, c’est plus facile de faire une requête sur les AMI4,1 que d’envoyer un enquêteur regarder ce qui se passe.

Raison de plus de bien se former à la NGAP..

Sandrine Fagour
28 juin 2017

Coralie Deschepper Flevotte Flevotte

Coralie Deschepper
28 juin 2017

????

Caro Roux
28 juin 2017

ok donc si je comprends bien ,notre travail est évalué sur l’utilisation abusive de certaines lettres cles ….par contre ne l’est pas ds l’autre sens…autrement dit le travail effectif que nous effectuons ts les jours et qui fait réaliser des économies énormes aux caisses….et tt le monde le sait!!

Amélie Girod
28 juin 2017

Elisa Perret Charlotte Dorey

Philippe Vogt
28 juin 2017

Cedric Peter pour leslie

Fifi Nagra
28 juin 2017

Caro Roux tu as tout compris…mais à l’envers ! ?

Et tu sais pourquoi ? Parce que tu es persuadée – et je te comprends – que tu fais réaliser des économies (éviter les hospitalisations, les décès etc) – mais penses-tu que c’est vraiment l’objectif des assurances ?

Une assurance souhaite dépenser le moins. Elle est peut-être là la prise de conscience que nous devons avoir.

Tes intérêts, ceux du patient et ceux de l’Etat ne sont pas alignés. Le comprendre est déjà un grand pas pour savoir ce qui se passe en coulisses.

Caro Roux
28 juin 2017

ok une assurance veut dépenser le moins possible mais il lui faut aussi des adhérents!!

Tony Druard
28 juin 2017

Fifi c est réfutable…
Par contre on a bien compris que les assurances veulent le beurre l argent du beurre la crémière et son chien…
Ils veulent depenser le moins possible en ayant le plus d adhérents…histoire de sous.

Ils font de la santé publique, une logique financière de profit et non une logique mathématique qualitative . De là en découle l abus, la diminution de la qualité des soins et le burn out.
Si on en venait à une simple logique mathématique…tout en optimisant la qualité du soin, cela ne frusterait en rien l économie réelle ! La marge serait juste moins grande…mais tout le monde s y retrouverait à moyen terme. L assureur le patient et le professionnel. Et l economie de masse serait à long terme exponentielle…

Fifi Nagra
28 juin 2017

Tony Druard c’est sûr. Mais il te manque une donnée essentielle en santé lorsqu’elle est prise en charge par la collectivité : l’offre crée le besoin.

En clair, en installant un médecin ou un IDEL quelque part, les dépensent flambent car les patients pensent « c’est gratuit, j’y ai droit »…

D’où la tentation pour l’Etat de réguler l’offre.

Ce texte, issu de l’excellente revue Avenir & Santé, l’explique bien :

Corinne Laroche
28 juin 2017

Je crois que ce n’est pas facturable avec la carte vitale ?

Caro Roux
28 juin 2017

aie….le renoncement aux soins est déjà là….

Flevotte Flevotte
28 juin 2017

Coralie Deschepper parfait ??

Sandrine Fagour
28 juin 2017

Je savais que ça allait vous faire plaisir les filles

David Clerc
29 juin 2017

Moi, j’attends avec impatience que l’on puisse coter les préparations de piluliers et surveillance prise de Ttt sans devoir faire 1 tonne de paperasse..
Parce que nos chers médecins savent très bien que ce sont des soins difficilement cotables mais ils se tranquillisent, tant pis si on galère …
Idem bandes de contention, collyres, pommades…

Audrey Fonseca
29 juin 2017

Sandrine Mestre Mauret Elizabeth Florian Perot Riviere Corinne Vialleix

François Melonio
29 juin 2017

Faudra m’expliquer l’intérêt du bordel ?!???!!

Marie Mercier-Claude
29 juin 2017

July G-rOme

Sébastien De Pourcq
29 juin 2017

On augmente une cotation pour un acte que l on fait une fois par an. Ils se foutent de nous. Qu ils nous paient pour notre travail de prévention. D observance des ttt chez ts nos personnes âgées pour éviter les erreurs et les hospitalisations qui coutent un fric monstrueux a la sécu.

Camille Bonadona
29 juin 2017

Il y a un protocole et il me semble que c’est un passage par semaine pdt 2 mois et un passage tte les deux semaines pendant encore deux mois. Tu as un carnet de suivi où tous les professionnels de santé notent leurs observations, etc

Sinldon Cooper
29 juin 2017

Dsi !

Céline Courbi
30 juin 2017

Emilie

Sylviane Lemaire
30 juin 2017

Camille Bonadona merci

Angèle Méli-Ya
30 juin 2017

Faut faire une feuille de soins manuscrite

Lydie Prds
30 juin 2017

C’est ami 4 en facture papier (vive le progrès. Lol)

David Clerc
30 juin 2017

Sinldon Cooper, oui, je sais.
Mais même avec une DSI, certaines caisses sont capables de réclamer des indus, et puis faire des DSI pour si peu, c’est ralant

Sandrine Ibarra
30 juin 2017

Amandine Pons Nicolas Turbiez Eric Drapier Delphine Capdeville Marie Cran

Rachel Laurent Llorca
30 juin 2017

Ne jetez pas la pierre aux médecins ….ils sont loins de connaître nos problèmes de cotations ou d actes gratuits ou non pris en charge.

David Clerc
30 juin 2017

Rachel Laurent Llorca, certes…
Certains pratiquent depuis des dizaines d’années, et on le dit et on le rabache…
Sans effet.

Laetitia Pischedda
30 juin 2017

Il ne faut pas les facturer en sécurisé mais sur des cerfa spéciaux c est peut être pour ça qu il vous reclame un indus;)

Khrys EmMa
30 juin 2017

Oui je les ai facturé sur led cerfa mm qu’ ils m avaient jointes avec l ordonnance
Bref

Amandine Pons
30 juin 2017

Complètement d’accord
Ils sont forts pour occulter les pbs rencontrés 100 fois par jour

Marie-Pierre Deuf
30 juin 2017

Carrément

Murielle Méthivier
30 juin 2017

Alex Andra Far Héritier Celine Laurent Planchard

Guillaume Grosse
30 juin 2017

Katia Kuzniezow

Maryon Amt
30 juin 2017

Charlotte Champenois

Anabelle Hairon Baptista
30 juin 2017

Caroline Jorge Ferreira

Anabelle Hairon Baptista
30 juin 2017

Caroline Jorge Ferreira

Grégory Labattut
30 juin 2017

Marina Tilkian-Hélary

Grégory Labattut
30 juin 2017

Marina Tilkian-Hélary

Grégory Labattut
30 juin 2017

Brice Gueneau Lamoureux

Grégory Labattut
30 juin 2017

Brice Gueneau Lamoureux

Grégory Labattut
30 juin 2017

Marion Fournier

Karine Leblanc
30 juin 2017

Mdrrrr en effet …..

Lise Durlot
30 juin 2017

Quelle augmentation lol avant c etait ami 4 …. ln passe a 5.8 … waoh on va devir riche yeah

Lise Durlot
30 juin 2017

Rachel Laurent Llorca je suis ok avec mais bcp de medecins se dechargent sur nous et baissent leur froc desolee d etre vulgaire lorsqu ilsblnt la famille dace a eux …
L infirmiere est la serpilliere de service …

Françoise Dreux Dugué
30 juin 2017

Sandrine ce la te concerne bises

Jean Remy Thomas Moolan
30 juin 2017

Ange Antona à noter

Christophe Juan
30 juin 2017

À quand l’augmentation de la valeur de l’AMI ???? Bientôt 5 ans que cela n’a pas était reçu à la hausse !!!!

Corinne Lag
1 juillet 2017

A peu pres la valeur de 2 ais3…. une seance qui va durer 1 h…. pfff… on va s enrichir ! Mais il est vrai que faire deplacer un medecin qui ferait la même chose couterait le double

Clem Blanchard
1 juillet 2017

Connerie. J’ai fait la formation PRADO. Jamais payé

Vanessa Bellantonio
1 juillet 2017

Elodie le voilà chou!

Elodie Respaut
1 juillet 2017

Jai vu l article hier oui

Julien Terroir
1 juillet 2017

Pierrick c’est drole on a reçu un papier de la secu qui stipule que c’est AMI 4…

Pierrick Ba
1 juillet 2017

Mais ca c’était avant!!!

Pierrick Ba
1 juillet 2017

Tu vas pouvoir te balader avec un stétho autour du cou mdr

Pi Erre
1 juillet 2017

Les gars ne parlaient pas de matériel que vous ne savez pas utiliser… restez aux glycémies vous êtes au top

Pierrick Ba
1 juillet 2017

Pi Erre nan mais sérieux le gars on doit t’appeler docteur ?

Pi Erre
1 juillet 2017

Non ça va je te remercie…
Chacun sa spécialité ?

Pierrick Ba
1 juillet 2017

Pi Erre et toi c’est Quoi ? Le pousse seringue et la télé ?

Pi Erre
1 juillet 2017

C’est ce que je te dis ne parle pas de matos que tu ne connais pas

Pierrick Ba
1 juillet 2017

Pi Erre enfaite je comprends pas … pourquoi tu as pas fait médecine si tu veux imiter les médecins ?

Pi Erre
1 juillet 2017

Tu ne comprends pas le métier c’est différent. Ausculter n’est pas que medical.. Je t’expliquerai un jour

Pierrick Ba
1 juillet 2017

Pi Erre Lol mon héros ???

Pi Erre
1 juillet 2017

Je sais

Pierrick Ba
1 juillet 2017

Pi Erre ❤️❤️❤️❤️❤️

Pi Erre
1 juillet 2017

Merci

Pi Erre
1 juillet 2017

Je suis comme ta tondeuse du stade de France.. . « professionnel « 

Pierrick Ba
1 juillet 2017

Pi Erre je sais …. tout aussi tu avales tout

Pierrick Ba
1 juillet 2017

Pi Erre une vraie « professionnel » je suis d’accord avec toi

Loïc Mercier
1 juillet 2017

Carlito Del Bonzin Marion Papo

Valérie Binson
1 juillet 2017

30 mn

Tête D'émoticon
1 juillet 2017

Peggy Natys

Nathalie Schweitzer Pottier
1 juillet 2017

Mdr la bonne blagounette

Magalie Ferreira de Pinho
1 juillet 2017

Yannick DF, je travaille pour le PRADO! je risque d’appeler Delphine si elle a des patients concernés. On pourra la solliciter pour du prado orthopédie aussi. sinon pour l’insuffisance cardiaque, pour l’instant c’est remboursé sur la base del’AMI4(RAD). Bisous

NSanchez
16 juillet 2017

Bonjour,
enfin on reconnait, à demi-mot, aux infirmiers français la compétence de la surveillance clinique. Jusqu’alors elle était méprisée alors même qu’elle fait partie intégrante de la première compétence des infirmiers (référentiel de formation).
Reste que cette compétence fait bien partie de notre rôle propre et que malheureusement elle est aujourd’hui soumise à prescription médicale… C’est une nouvelle aberration.
Cordialement

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