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Profil de laureen@gmx.fr

Fonction : Infirmier Infirmière en soins généraux

Expérience – Compétences :

Sa contribution à ActuSoins Experts

Nombre de questions posées : 4

Nombre de réponses données : 23

Bonjour

je suis infirmière dans une petite clinique depuis plus d'un an et demi.

Je suis en CDI, mais il n'est pas spécifié de service en particulier sur mon contrat, juste "infirmière à la clinique". Depuis que je travaille là-bas, je n'ai pas arrêté de changer de service, en alternant bloc, salle de réveil et chirurgie.

Depuis 1 mois, on me demande de changer de service, mais en me demandant cette fois d'occuper 2 POSTES DIFFÉRENTS SUR LA MÊME JOURNÉE.

Voici comment ça se passe : je viens le matin à 6h15 prendre mon poste en service de chirurgie jusqu'à 8h15. Lorsque l'infirmière de journée arrive, je lui fais les transmissions puis je me change et je descends pour une durée indéterminée en salle de réveil. Quand on n'a plus besoin de moi en salle de réveil (en général aux alentours de midi, mais c'est variable), on me fait remonter, je me rechange et je finis ma journée en reprenant mon poste en chirurgie.

Ma question est donc la suivante : est-il légal de me faire changer de poste deux fois dans la même journée? Qui plus est pour occuper des fonctions radicalement différentes?

Ces changements sont extrêmement stressants pour moi. Il faut que je boucle mon tour de 8h en chirurgie a toute vitesse pour pouvoir transmettre le service à l'infirmière de journée. Ensuite, je dois subir les remarques du bloc opératoire qui estime que je ne descends pas assez tôt. Et enfin, je ne sais jamais quand est ce que je vais pouvoir réintégrer mon service. De plus, le travail en chirurgie et en salle de réveil n'est pas du tout le même, il faut changer de repère en cours de journée, au risque de faire des oublis ou des erreurs...

Cette situation est-elle autorisée par la loi? Quels sont mes recours?

Merci de vos réponses

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Bonjour, au secours!
Je suis infirmière en EHPAD. Une de mes collègues IDE a admis avoir giflé une résidente.
Côté hiérarchie : la directrice est en arrêt maladie longue durée et c'est sa secrétaire qui fait tout son possible pour la remplacer, il n'y a ni cadre ni infirmière coordinatrice.
La résidente est atteinte de démence et n'a plus les moyens physiques et cognitifs de se défendre. Sa famille ne vient presque plus la voir.
Une réunion en équipe est prévue avec un psychologue externe à l'établissement afin de permettre à tout le monde de s'exprimer.
En revanche, aucune sanction ne sera mise en place vis-à-vis de l'infirmière, il y a simplement un mot dans son dossier (propre à l'établissement).
La famille et le médecin traitant de la résidente ne seront pas prévenus, et rien n'est mis en place pour la personne âgée.
Le médecin coordonnateur a organisé une réunion avec les infirmiers car un malaise général s'est installé. Il a exprimé la nécessité d'une sanction, de montrer que l'institution est cadrante et ne tolère pas ce genre de geste ; le problème c'est qu'il n'est pas décisionnaire et n'a pas le pouvoir de sanctionner.
Ma collègue s'est mise en arrêt en attendant que çà se tasse.
Je me sens très mal car je me sens complice de cet acte puisque rien n'est fait. Cette infirmière crie sur les résidents, les brutalise dans ces gestes et dans ces paroles. Elle a fait pleurer plusieurs AS et s'est disputée violemment avec un autre IDE. Tout le monde la craint, la hiérarchie est au courant mais ne bouge pas.
je voudrais votre avis et vos témoignages, car je ne sais pas ce que je dois faire. Ce n'est pas mon rôle de la dénoncer, les conditions de travail sont difficiles et il peut arriver à n'importe quel soignant de craquer. Je trouve normal de soutenir ma collègue IDE car la solidarité est essentielle dans notre métier et qu'elle est aussi victime de nos conditions de travail, c'est même moi qui ait suggéré l'intervention du psychologue à mes supérieurs. Mais je ne peux pas accepter que le geste soit ignoré. Si c'était un membre de notre famille, comment réagirions-nous?
Merci de vos réponses.

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Bonjour à tous
à la remise de mon diplôme en Novembre 2011, il m'a été remis un papier m'indiquant qu'il était obligatoire de déclarer mon diplôme dans le département ou j'exerce. Je suis donc aller à la DDASS (ca ne s'appelle plus comme çà mais je ne connais pas le nouveau nom!) pour inscrire mon diplôme. Je pensais que cette manoeuvre servait à comptabiliser le nombre d'IDE par département ou pour d'autres statistiques (type de contrat, durée d'embauche, structure privée ou publique,...) , ou éventuellement à appeler les infirmiers à l'aide en cas de crise NRBC ou sanitaires.
Lors de l'inscription de mon diplôme, j'apprends que je viens en fait de m'inscrire malgré moi à l'ordre infirmier! Entre temps, j'ai déménagé et j'ai changé de département. Je n'ai pas fait la nouvelle déclaration dans le département où je me trouve actuellement, et mon employeur ne me demande pas mon numéro adeli pour travailler. Je suis actuellement en CDD, mais je vais devoir passer le concours de la fonction publique pour pouvoir être titularisée.
Est-ce que je risque des poursuites pour ne pas avoir déclaré mon changement de situation?
L'ordre peut-il retrouver mon adresse et me demander une cotisation?
Je n'ai jamais recu de courrier à la suite de mon inscription, est-ce normal?
Y-a-t-il une différence entre inscription à la DDASS et inscription à l'ordre?
Dois-je obligatoirement m'inscrire à l'ordre pour être titulaire de la fonction publique?
Merci pour vos réponses.

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Quelles sont les démarches à effectuer pour devenir IDE en milieu carcéral?
Où se renseigner sur les emplois disponibles?

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Réponse postée par : laureen@gmx.fr

Plus 2 Moins 0

bonjour
j'ai travaillé dans une EHPAD où il y avait un dispositif mis en place pour les résidents fumeurs. Dans un des couloirs de la résidence étaient installés quelques fauteuils, une table au centre avec un cendrier à claquet (qui se referme donc, limitant ainsi les odeurs et les cendres volantes). Au-dessus, il y avait une aspiration assez forte en permanence qui rejetait l'air et le fumée de cigarettes à l'extérieur. Cela marchait très bien. Moi qui suis non fumeuse et qui craint énormément l'odeur de la cigarette, je n'ai jamais été gênée par les résidents fumeurs grâce à ce système, pas même en hiver avec toutes les fenêtres fermées.

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Plus 1 Moins 0

Bonjour
je ne sais pas si ma réponse peut encore t'aider, mais une des applications que je voie dans le terme "pansement psychique" serait peut-être l'enveloppement humide ou packing. C'est un soin qui a pour but d'agir sur le corps pour apaiser l'esprit...

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Plus 5 Moins 1

Bonjour,
j'ai moi-même travaillé dans un service de chirurgie, le quotas était d'une infirmière pour 19 patients, quotas au delà duquel l'établissement devait payer des sanctions financières. Mais les 19 patients étaient souvent dépassés, car la pénalité demandée à l'établissement était bien inférieur au salaire d'une infirmière en plus...

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Plus 5 Moins 1

Je suis d'accord, le consentement est obligatoire dans le cas de recherche sérologique, ça ne peut en aucun cas se faire sans. Dans le cas d'une tutelle ou d'une curatelle, c'est à voir avec le responsable légal.
En revanche, en ce qui concerne les résultats, en cas de sérologie positive, c'est à l'équipe soignante de déclarer le patient aux autorités sanitaires comme étant porteur d'une maladie contagieuse à déclaration obligatoire, avec ou sans le consentement du patient par contre...

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Plus 5 Moins 0

L'hypothèse de l'hypoglycémie après le jeûn de la nuit me semble la plus cohérente avec ce que vous décrivez.
Une autre supposition peut-être : les personnes âgées sont extrêmement sensibles aux perturbations de leur transit. Une constipation, même légère, peut suffire à induire ce que l'on appelle le "syndrôme confusionnel" de la personne âgée. Si ce résident à l'habitude d'aller à la selle le matin, il se peut qu'il soit confus jusqu'à ce qu'il y soit allé.

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Plus 8 Moins 0

Bonjour
il y a malheureusement une dure réalité en ce qui concerne la titularisation des infirmiers : les postes en hôpitaux sont convoités, les recruteurs peuvent donc se permettre de faire le tri dans les candidatures et de retarder au plus tard l'embauche afin de limiter la hausse des salaires liée à l'ancienneté.
En revanche, les EHPAD et certaines cliniques privées qui sous-payent le personnel propose des embauches très rapides voir dès le premier contrat : cà a été mon cas dans une maison de retraite et dans une clinique de chirurgie, où on m'a proposé une embauche immédiate à la sortie de mon DE. En clinique, le salaire était de 1350 euros par mois toutes primes comprises pour un temps plein et 1 week-end sur deux...
En EHPAD, salaire de 2000 euros par mois, à condition d'être seule infirmière pour 80 personnes avec une prise en charge très lourde : nombreuses prises de sang, injections, pansements, escarres, et surtout absence totale de médecin et prescriptions uniquement téléphoniques... Et bien sur des horaires hallucinants avec des soirs-matins, des coupés et des 12h sur le même planning... Mais un CDI!
Concernant les missions en intérim, tout dépend de la région où tu es. En milieu rural, il n'y en a quasiment pas. Par contre, dans les grandes villes, il faut refuser les missions si tu ne veux pas te retrouver à travailler 24h/24 et 7jrs/7!
Ce phénomène s'accroit, et je ne pense pas qu'il soit réversible. Je pense malheureusement qu'il faudra attendre une crise sanitaire sans précédent pour que les gens prennent conscience de la nécessité de revoir notre système de santé.
L'alternative principale aujourd'hui pour notre profession infirmière consiste à quitter l'hôpital qui se libéralise au détriment des infirmiers pour devenir infirmiers libéraux au détriment de l'hôpital...
C'est à nous de court-circuiter la machine : si les institutions ne nous respectent plus, si on troque l'humain contre de l'argent, c'est à nous de nous prendre en main pour redonner toute sa dignité à la profession infirmière, que ce soit coté soignant ou coté patient.
En espérant que le gouvernement ne légifère pas trop tôt pour s'en mettre plein les poches sur le dos des infirmières libérales...
Courage!

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Plus 5 Moins 0

Une bonne alternative consiste aussi à avoir une réserve de médicament par patient au lieu d'un stock général commun. Ainsi le traitement de chaque résident vient de SON stock, avec une seule boite, une seule date de péremption, un seul dosage. Cela limite fortement les erreurs.

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Plus 5 Moins 5

Le seul cas où les cas où les gants stériles sont censés être obligatoires, c'est lorsque tu prélèves des hémocultures sur ton cathéter avant de brancher ton soluté. Dans ce cas, tu dois normalement porter des gants stériles.

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Plus 5 Moins 0

De plus, depuis peu, l'infirmière a le droit de renouveller la prescription de matériel à usage unique, dans le cas de la prise en charge diabétique notamment. Ce n'est évidemment pas le cas pour l'insuline puisqu'il s'agit d'un médicament, mais tu peux faire une ordonnance pour un renouvellement de bandelettes, d'aiguilles ou de compresses à condition qu'une première ordonnance ait été faite par un médecin.
C'est évidemment pris en charge complètement au titre de l'ALD, donc aucun soucis de remboursement.

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Plus 8 Moins 0

La seule situation que je vois pour ton mémoire concernerait des patients admis en psychiatrie et qui seraient soumis à un contrat thérapeutique où il est question du portable.
Par exemple, dans certains services d'addictologie, les patients signent un contrat à l'entrée dans le service où il est dit que les contacts avec l'entourage sont interdits lors de la première semaine afin de permettre au patient de se recentrer sur lui-même et aussi pour lui éviter d'être soumis au stress que pourrait générer son entourage (conjugopathie, pression mise par l'employeur pour que le patient revienne travailler, ... Dans ce genre de contrat, le patient remet son portable à l'équipe soignante. Ce genre de contrat permet au patient d'adhérer à un projet de soins et cela lui permet également de se protéger. Cela existe aussi dans la prise en charge de l'anorexie.
Ce n'est pas tellement la question du portable qui se pose, mais plutôt la question des relations du patient avec l'extérieur du service.
Sinon il y a aussi la question de la sensibilité aux ondes électro-magnétiques, mais là on change complètement de sujet...

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Plus 8 Moins 0

Bonjour,
je pense que tu dois effectivement refuser de valider cet acte. La personne qui distribue est responsable de cet acte. Même si c'est toi qui prépare les traitements, l'IDE qui les donne à le devoir de vérifier la prescription et de s'assurer qu'il n'y a pas d'erreur (oubli, erreur de dosage, ...). C'est elle qui doit également s'assurer de la bonne observance du traitement.
Il y a également des situations dans la journée qui peuvent devenir une contre-indication à la prise d'un traitement (par exemple, tu dois te poser la question de savoir si tu vas donner un traitement neuroleptique à un patient présentant une hyperthermie). Or, de nuit, tu n'es pas en mesure de savoir si l'IDE de jour a bien pris en compte ce genre de risques.Autre cas de figure : imagine que l'infirmière qui distribue les médicaments échangent les traitements entre deux patients...
Donc, surtout ne valide pas des actes que tu n'as pas pu faire toi-même, c'est ton diplôme et ta responsabilité en cas de problème que tu mets en jeu!

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Plus 6 Moins 0

Bonjour
dans l'IFSI où j'étais , le questionnement devait partir d'une situation qui t'as choqué, ému ou surpris, pas forcément d'un thème qui t'intéresse. Le TFE doit montrer ta capacité à te questionner, à t'interroger, à remettre les pratiques en question dans un but d'amélioration. Il ne doit pas s'agir d'un exposé ou d'un recueil d'information sur un sujet qui t'intéresse. Le TFE est une réflexion personnelle qui n'attend pas forcément de réponse. Si tu peux décrire une situation qui t'as interpellé, nous pourrons t'aider à trouver une problématique. Bon courage

Réponse postée par : laureen@gmx.fr

Plus 11 Moins 0

Bonjour,
je pense qu'il faut garder en tête que l'on ne peut pas imposer la prise d'un traitement à un patient, à moins qu'il ne soit sous un régime particulier (hospitalisation sous contrainte, obligation de soins, ...). Dans ce cas, l'observance du traitement fait partie du contrat thérapeutique.
Se pose malgré tout la question du danger que représente le patient pour les autres ou plutôt dans ton cas le danger qu'il représente pour lui-même. Est-ce un patient suicidaire? Est-ce quelqu'un succeptible d'échanger des médicaments contre de l'argent ou des cigarettes avec d'autres patients? Quels sont ces antécédents psychiatriques? De quelles pathologies souffre-t-il?
A ta place, je pense que je soulèverais la question en équipe de la necéssité d'un suivi psychologique de ton patient, surtout dans le cas d'un traitement par antidépresseurs. Est-il déjà suivi par un psychiatre?( vu le traitement que tu décris il faut espérer que oui!).
Dans tout les cas, il faut absolument te couvrir. C'est malheureux à dire, mais s'il y a danger pour le patient, il y a également danger pour toi en tant que soignant en terme de responsabilité. Il faut toujours que tu suives les directives de l'infirmier qui te forme en attendant d'avoir le diplôme qui te rend responsable de tes initiaves...
La discussion en équipe est essentielle afin d'assurer une cohérence dans les soins. Si ton patient sent que l'équipe est divisée il sera d'autant plus facile pour lui d'en jouer. Si aucun accord n'est trouvé, c'est au médecin de trancher.
Bon courage!

Réponse postée par : laureen@gmx.fr

Plus 5 Moins 0

Bonjour,
je pense qu'il faut garder en tête que l'on ne peut pas imposer la prise d'un traitement à un patient, à moins qu'il ne soit sous un régime particulier (hospitalisation sous contrainte, obligation de soins, ...). Dans ce cas, l'observance du traitement fait partie du contrat thérapeutique.
Se pose malgré tout la question du danger que représente le patient pour les autres ou plutôt dans ton cas le danger qu'il représente pour lui-même. Est-ce un patient suicidaire? Est-ce quelqu'un succeptible d'échanger des médicaments contre de l'argent ou des cigarettes avec d'autres patients? Quels sont ces antécédents psychiatriques? De quelles pathologies souffre-t-il?
A ta place, je pense que je soulèverais la question en équipe de la nécessité d'un suivi psychologique de ton patient, surtout dans le cas d'un traitement par antidépresseurs. Est-il déjà suivi par un psychiatre?(vu le traitement que tu décris il faut espérer que oui!).
Dans tout les cas, il faut absolument te couvrir. C'est malheureux à dire, mais s'il y a danger pour le patient, il y a également danger pour toi en tant que soignant en terme de responsabilité. Il faut toujours que tu suives les directives de l'infirmier qui te forme en attendant d'avoir le diplôme qui te rend responsable de tes initiatives...
La discussion en équipe est essentielle afin d'assurer une cohérence dans les soins. Si ton patient sent que l'équipe est divisée il sera d'autant plus facile pour lui d'en jouer. Si aucun accord n'est trouvé, c'est au médecin de trancher.
Bon courage!

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Plus 8 Moins 0

Hé oui, malheureusement toute une équipe infirmiers/infirmières ne peut rien contre un seul médecin...
Face aux genres de patients que vous décrivez, il semble que le sang-froid soit la seule arme valide.
Bonne continuation.

Réponse postée par : laureen@gmx.fr

Plus 5 Moins 0

Merci pour vos réponses.
je me suis rendue à l'ARS responsable de mon département, et je n'ai rempli aucun papier concernant l'ordre infirmier, juste mon changement de situation.

Réponse postée par : laureen@gmx.fr

Plus 5 Moins 0

Au final
je suis inscrite à l'ARS dans le département où j'ai déménagé, j'ai reçu mon nouveau numéro adeli, et pas de nouvelles concernant l'ordre. Ouf!
J'attends maintenant de voir si le projet de loi concernant la levée de l'obligation de s'inscrire à l'ordre infirmier passe. Je pense qu'une adhésion volontaire calmera les esprits et permettra de résilier l'adhésion en cas de déception.

Réponse postée par : laureen@gmx.fr

Plus 6 Moins 0

Bonjour
petite suggestion pour ton questionnement :
dans quelle mesure la sexualité du patient s'intègre-t-elle dans les soins infirmiers?
Ce qui te permettrait d'aborder 3 volets dans ta recherche : la sexualité vue par le patient, la sexualité vue par le soignant, et le soin comme cadre commun.
J'espère avoir été compréhensible!
Bon courage

Réponse postée par : laureen@gmx.fr

Plus 11 Moins 0

Bonjour
lorsque j'étais en 3ème année, de nombreux élèves de ma promotion voulait faire leur mémoire sur l'annonce du diagnostic par les infirmiers, les prescriptions par téléphones, le dépassement de compétences, les actes médicaux faits par les IDE, ... Tous se sont vus refuser leur sujet pour la même raison : ce qui est du domaine médical doit le rester, il n'y a pas d'alternative possible à la loi qui dit qu'en théorie tu ne dois pas administrer un traitement sans prescription écrite ou protocole en cas d'urgence.
Ton mémoire doit porter sur un domaine qui relève du rôle infirmier.
Tu peux éventuellement faire ton mémoire autour de la nouvelle loi sur la collaboration médecin/IDE concernant certains actes bien spécifiés, ou encore sur le fossé entre la théorie enseignée à l'IFSI et la réalité du terrain...
Bon courage

Réponse postée par : laureen@gmx.fr

Plus 2 Moins 1

Bonjour
Lorsque j'étais à l'IFSI, on m'a enseignée que la surveillance des plaquettes étaient indispensables. Cependant, on m'a aussi dit que le risque de thrombopénie était plus fort en début de traitement et qu'après les deux premières semaines de traitement, ce risque diminuait (on pouvait donc passer à une prise de sang par semaine).
Certains laboratoires pharmaceutiques vantent des produits comme l'innohep, où le risque de chute des plaquettes seraient très nettement diminué par rapport à des produits plus anciens comme le lovenox, mais je ne suis pas en mesure de te dire si ces dires sont véridiques ou non.
En espérant t'avoir aidé.

Réponse postée par : laureen@gmx.fr

Plus 4 Moins 1

En tant qu'infirmière, tu as du recevoir la formation AFGSU. Cette formation signifie que tu es apte à porter les premiers secours, et signifie aussi que tu peux être poursuivie pour non-assistance à personne en danger le cas échéant. En ce qui concerne ton cas précis, je pense que le seul risque que tu encours c'est un mécontentement de la part des parents de l'enfant que tu soignes, s'ils estiment que tu ne l'as pas fait correctement ou si cela va à l'encontre de leurs principes (par exemple l'utilisation d'un désinfectant alors que les parents se soignent exclusivement à l'homéopathie). Si tu prends l'initiative de soigner un enfant, il y aura toujours des gens pour raler...

Réponse postée par : laureen@gmx.fr

Plus 2 Moins 0

Oui, il faut te déclarer systématiquement à chaque changement de département. ILS te redonneront une attestation de déclaration pour pouvoir exercer dans ton nouveau département de résidence, et te demanderont également de remplir un formulaire pour prévenir ton ancien département de résidence de ton départ.

Réponse postée par : laureen@gmx.fr

Plus 9 Moins 15

Ayant rencontré le même soucis que toi, je me suis renseignée sur la question et à chaque fois la réponse fut la même : une infirmière est apte à effectuer un premier sondage urinaire chez un homme SAUF si celui-ci présente des antécédents de problèmes prostatiques. Il faut bien donc bien se renseigner sur les antécédents de ton patient surtout si celui-ci est déjà âgé, mais la loi régissant la profession infirmière est formelle : tu peux sonder un homme pour la première fois dans ces conditions.

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