L’immeuble de dix étages comporte des bureaux et des logements, ainsi qu’une partie accueillant une crèche. Selon l’AP-HP, le bâtiment sinistré était “conforme“. Extincteurs, détecteurs de fumée, dispositif manuel de désenfumage… : dans un communiqué, l’AP-HP précise la liste des dispositifs facultatifs et obligatoires de sécurité mis en place par le bailleur.
Les dix appartements détruits hébergeaient du personnel des services de l’hôpital : plombiers, électriciens, ASH…
Le corps de la victime décédée a été retrouvé dans l’ascenseur, qui, dans ce type de bâtiment n’est pas soumis au système de sécurité incendie. Il a donc continué à fonctionner après le début de l’incendie.
“Toutes les familles concernées sont actuellement prises en charge dans l’enceinte de l’établissement et des solutions de relogement vont leur être proposées“, explique l’AP-HP.
Le relogement des 67 personnes qui occupaient les 25 appartements de l’immeuble est également prévu, ainsi qu’un accompagnement par la cellule médico-psychologique.
Les syndicats CGT et SUD-Santé, qui s’interrogent sur la responsabilité de l’AP-HP, ont demandé qu’un comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) extraordinaire soit convoqué.
Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes du sinistre.
Rédaction ActuSoins
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