L’inserm (Institut National de la santé et de la recherche médicale) lancera mercredi une campagne nationale pour rechercher des volontaires prêts à tester le vaccin contre le virus Ebola.
“Depuis 2014, le virus Ebola a fait plus de 28 000 victimes. Aujourd’hui la menace du virus Ebola est toujours présente et il est urgent d’agir pour redonner espoir aux populations menacées et éviter qu’une nouvelle flambée épidémique se propage à nouveau” explique l’Inserm, aux potentiels volontaires.
Alors que le vaccin préventif contre le virus Ebola représenterait la principale solution pour mettre fin à la plus importante épidémie de fièvre hémorragique jamais observée, qui persiste d’ailleurs toujours en Afrique de L’Ouest, un essai vaccinal appelé Ebovac2, coordonné par l’Inserm vise à évaluer l’efficacité d’un vaccin préventif.
“Cette stratégie vaccinale, contrairement aux protocoles de vaccination classiques fondés sur une ou plusieurs administrations du même vaccin, repose sur le concept d’une vaccination en plusieurs étapes avec deux vaccins différents, pour exposer l’organisme de plusieurs façons aux mêmes antigènes. Il s’agit d’une approche nouvelle dans la mise au point d’un vaccin contre Ebola” explique Rodolphe Thiébaut, coordinateur du projet Ebovac2, de l’U897 à l’INSERM.
l’Inserm cherche volontaires
L’essai vaccinal de phase 2 qui est coordonné par l’Inserm est soutenu part la Commission Européenne “a reçu toutes les autorisations nécessaires pour garantir la sécurité des participants” explique l’Inserm.
Dans ce cadre, l’Inserm recherche 300 volontaires, prêts à mobiliser leur système immunitaire pour faire avancer la recherche. La même étude a démarré cet été en Angleterre avec un nombre équivalent de volontaires.
Les volontaires seront répartis par tirage au sort en 3 groupes, et devront suivre entre 9 et 15 visites d’une heure environ. Parmi ces visites, 2 comporteront des vaccinations. Pour l’Inserm, qui l’affiche en slogan sur son site internet, “Pas besoin d’avoir fait médecine pour combattre Ebola” donc.
Une indemnisation de 760 à 1240 euros est prévue pour les participants. Tous doivent être majeurs, et vivre près de l’un des 7 centres participants (Paris, Créteil, Lyon, Marseille, Rennes, Saint-Etienne, Strasbourg). Ils doivent aussi être en bonne santé, être assuré social et ne pas participer à un autre essai clinique non donner son sang pendant celui-ci.
Rédaction ActuSoins
Mais bien sûr ! Les pigeons !!! 🙂
Non merci
Zéro vaccin
Quel risque ?
absolument aucun rapport c’est bien ce que je dis j’ai pris en charge sans aucun soucis tout type de personne, de toute origine et même des personnes étant porteuses de bracelet électronique ou sous surveillance policière devant la chambre ceci sans aucun jugement et comme n’importe quel autre patient je sais faire la part des choses et j’ai été la 1ere à saluer l’infirmier qui à continué à masser le terroriste qui venait de faire le restau à Paris alors qu’il venait de découvrir sa ceinture d’explosif. Après pardonnez moi d’avoir du mépris malgré tout pour les violeurs d’enfants ou meurtriers… étrangement le commentaire suivant le mien qui voudrait se servir des politiciens ne vous émeut pas autant qu’un violeur alors qu’ils font tout autant de mal mais de façon différente…
lol bravo j’adore l’humour noir 😀
Si tu ne vois pas le rapport pas étonnant que tu arrives à sortir de telles inepties.
Le fait de soigner des humains sans discrimination peut être ? Moi aussi je suis stupéfaite de lire ce genre de propos de la part d’un soignant et d’ailleurs même de la part d’un humain…
Le rapport avec mon métier?
Quel comme debile et ça se dis soignant????