C’est une expérience qui, dans un premier temps, se déroule à Marseille. Elle devrait s’élargir à l’ensemble du groupement des pharmacies Pharmabest d’ici la fin de l’année. Parmi les villes qui devraient très rapidement proposer ce service, il y a Avignon, Bordeaux, La Rochelle, Lille, Lyon, Nantes, Nice, Pau, Saint-Etienne, Tours…”, a indiqué Pharmabest, qui estime pouvoir atteindre, d’ici 18 mois 100 000 ordonnances livrées à domicile.
Alors que la vente en ligne de médicaments soumis à prescription reste interdite en France, les pharmaciens du groupe se sont alliés à la Poste en utilisant une plateforme pour la mise en relation, sans acte d’achat en ligne.
La livraison a lieu le jour de la commande passée avant midi
La plateforme intervient pour fluidifier les relations entre le patient, le pharmacien et le facteur concerné.
Le patient s’inscrit au service soit depuis le site internet de la pharmacie, soit via une application mobile. S’il souhaite bénéficier du tiers-payant et de la prise en charge de sa mutuelle, il faut qu’il s’identifie et renseigne son numéro de sécurité sociale et son numéro de carte de mutuelle.
Il doit aussi scanner ou photographier son ordonnance ainsi qu’une copie de sa carte vitale et de sa complémentaire santé.
A Marseille, ou le portage est expérimenté, Pharmabest s’engage à ce que les commandes effectuées avant midi soient livrées dans l’après-midi et que celles effectuées l’après-midi jusqu’à 19h30, soient livrées le lendemain matin.
Les patients devront régler un forfait de livraison de 7,90 euros (pour un colis de moins de 5 kg) ainsi que les frais liés aux médicaments.
La Poste fait polémique avec ses services
Avec cette nouvelle offre, la Poste continue sa mutation pour s’adapter à la chute de courrier. Il y a quelques temps, elle créait la polémique avec le lancement de son service “Veiller sur mes parents”, qui proposait notamment de monétiser le lien social : Faire payer le temps passé par ses agents aux côtés de personnes âgées à qui ils distribuent le courrier.
Les infirmiers libéraux ne voient pas toujours cela d’un bon oeil non plus. La raison de l’inquiétude : tous ces nouveaux services de la Poste, qui a annoncé clairement faire son entrée dans le marché de la santé à domicile.
M.S (Sources : APM, BFM, 20 minutes)
Si le service est payant .et nous on le fait gratos
Tant mieux je ne perdrais plus mon temps a courrir les pharmacies !!
A quand les “nursing” effectués par la Poste ? Il y a certainement un marché à prendre !
Il faudrait déjà qu’ils livrent les paquets postés lorsqu’on est chez soi !!!
Mais vraiment La Poste bouffe à tous les râteliers !!! … bientôt “La Poste chef à domicile”, “La Poste vidange et pneumatiques”, “La Poste peintures et sols” ou encore “La Poste Airways” … et l’Etat laisse faire …. une honte
Logiquement les pharmacies sont tenues de livrer leurs clients qui ne peuvent se déplacer !!! Et ce gratuitement
“Bonjour madame” : 5 euro ; “ça va ?” : 10 euro ; “vous avez des nouvelles des enfants ?” : 25 euro. “Ah, ils sont morts… désolé” : 40 euro ; “J’ai du courrier pour vous” : 50 euro. “Vous êtes tombée ? Evanouie ? Je vais appeler les pompiers” : 200 euro…
La poste est en train de couler. Elle cherche à se diversifier en faisant n’importe quoi. Ils ont déjà du mal à distribuer du courrier et des colis, je vois mal comment elle peut imaginer devenir livreur de médicaments avec toutes les contraintes que ça suppose !
À quand marseille Pascamalgame d’Erbalunga
Et moi je le fais gratos